C'était comme une seconde vie

Chapitre 1: Comme tous les jours

Mon réveil sonna à 6h30, comme chaque matin, et j'appuya très fort sur mon téléphone pour faire glisser mon doigt dessus, arrêter ce son horrible et me rendormir paisiblement. Mais mon oncle me connaissant plus que bien vint me réveiller 10 minutes après pour me dire de me lever.

Je me suis donc levée et dirigée vers la cuisine en me prenant au passage le joli coin de mon lit dans le petit orteil ce qui me réveilla d'un seul coup et augmenta ma mauvaise humeur du matin.

Une fois dans la cuisine je pris mon bol et mon verre dans le lave vaisselle, le lait et l'eau dans le frigo et mes céréales sur l'étagère. Je me servis un verre d'eau et mis du lait dans mes céréales. Je pris bien mon temps pour manger car il était désormais 7h00. Je suis retourné dans ma chambre et ais ouvert mon armoire pour en sortir un pull et un t-shirt au hasard. Oui je ne suis pas le genre de fille à passer 15ans devant mon armoire à me demander quel vêtement irait le mieux avec quel vêtement, non moi je suis plus le genre qui se rendort devant sa penderie plutôt que de se poser ce genre de question. C'est pour ça que je prend des vêtements au hasard et me dirige directement vers la salle de bain.

Une fois la porte dans la salle de bain je me lave les dents, enfile mes vêtements me brosse les cheveux et me regarde enfin devant le miroir. Comme d'habitude j'ai les yeux bouffis et rouges à force d'avoir pleuré toute la nuit; mais je passe un peu d'eau dessus et ça va mieux puis je mets un peu de baume coloré et sors de la salle de bain prend mon sac de cours et parti de chez moi pour aller au lycée.

_______________une fois devant le lycée________________

J'arrive devant le lycée et m'apprête à rentrer quand j'entendis:

- Auscalire!!!!!

Je me suis donc retournée pour trouver Marinette devant moi et à bout de souffle. Marinette était une de mes deux meilleures amies mais depuis ce qu'il s'est passé j'ai l'impression qu'elle ne me comprend plus:

-Pourquoi tu es aussi essoufflée, dis-je étonnée

-Eh bien il s'avère que je t'ai appelé au moins 10 fois et que toi tu ne t'ai pas retournée, répondit-elle énervée

-Désolée je n'ai pas entendu

-Ah ba tient tu m'étonne; non mais quand est-ce que tu arrêtera de rêver et que tu reviendra sur terre. Ecoute je sais que ce qu'il s'est passé t'as beaucoup traumatisé et attristé et c'est normal mais je m'inquiète tu sais ça va faire maintenant 2ans et la vie continue je ne voudrais pas que tu reste focalisée sur ça et .........

A partir de là je n'écoutais plus parce-que je connais déjà la suite en fait les gens disent toujours la même chose comme quoi ils sont désolés pour moi mais qu'il ne fallait pas que je reste dans le passé et que j'avance mais ils ne comprennent pas et ne font qu'empirer les choses en m'en parlant encore et encore chaque jour dès qu'ils voient que je ne souris pas. Mais qui peut sourir à longueur de journée sans se fatigué? Personnellement je pense que seul les hypocrites le peuvent et encore.

-EHHHH!!!! Tu m'écoutes là ou je parle dans le vide

-Non non je t'écoute et oui tu as raison. Bon sinon c'est pas tous mais on a cours là.

On se rendit donc en cours et la journée du lundi débuta comme d'habitude et se termina comme d'habitude.

Mais pour moi la fin des cours n'était pas la fin de la journée car il fallait bien que j'aille travaillé après tous c'était le meilleur moment de la journée car je vais enfin pouvoir respirer et ne plus voir autour de moi ses regards remplis de pitié et de tristesse qui me sont adressés tout au long de la journée par les profs et les élèves de ce putain de lycée.
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Coucou bon si jamais un jour quelqu'un lit ça s'il te plait soit indulgent c'est ma première fiction et je suis pas douée