Chapitre 15: La rencontre fatidique

10 1 3
                                    

J'espère que demain ne sera pas trop difficile et que tout va bien se passer.

Mon réveil sonne à 9h comme prévu, comme d'habitude j'appuies comme une forcenée dessus pour l'éteindre. J'ouvre lentement les yeux c'est un peu flou et tout noir. Je cherche à tatons la télécommande des volets. Mais où j'ai mis cette putain de télécommande, je m'écroule par terre lorsque je sors du lit pour la cherche et quand je me relève je m'emmêle les pinceaux dans la couverture et m'écrase comme une merde sur le sol. Je suis tombée sur quelque chose de dur, alors je me relève et tombe sur la télécommande. Super, c'est pas trop tôt, j'appuies sur le bouton et les volets s'ouvrent. La lumière du soleil m'aveugle, alors je replonge la tête dans les draps jusqu'à ce que je me décide enfin à me relever et chercher où sont les habits que monsieur Pakza m'a fais apprêter. Je cherche partout dans la chambre sauf dans le placard bien sûr, non mais quelle nouille. Je m'approche du placard et ouvre la porte coulissante, je tombe nez à nez avec une collection entière de robes qui sont dans des housse suspendues à des cintres, en dessous se trouve des milliers de chaussures de différentes sortes toutes plus belles les unes que les autres. Mais j'ai beau chercher je ne trouve pas de pantalon ou de T-shirt. Je suis tombée sur des collants et même des petites culottes et des soutifs, mais aucune trace d'un quelconque short, pantalon ou des choses de ce genre.

Bon eh bien on dirait qu'il va falloir porter une de ses choses. J'en pris donc une sobre, elle était blanche, cintrée à la taille avec des bretelles un col en rond et avait un peu de volume vers le bas, elle m'arrivait aux genoux. Je regarde la lingerie pour voir si il y en avait de la blanche et oui heureusement, et lorsque j'allais me diriger vers la salle de bain, j'aperçu un collant couleur chair très fin et très joli avec des petites paillettes minuscules, je le pris et entrai dans la salle de bain.

Elle était assez grande il y avait une baignoire d'angle tout au fond à gauche, des sèches serviettes où était disposés deux grandes serviettes blanches et deux petites. A droite un immense lavabo avec une cuve au milieu, au-dessus il y avait une immense glace qui faisait tout le long du lavabo, et juste au-dessus du lavabo, l'armoire-glace. A droite à côté de la porte, il y avait une autre porte, je l'ouvris et découvris les toilettes.

Je me dirige vers la douche et constate qu'il y a tous ce qu'il faut à l'intérieur. Je me déshabille donc et pris une douche, l'eau était chaude et ça faisait du bien. Je sortis de la douche et constatai qu'il était 9h40, il faut que je me dépêche je vais être en retard. Je me sèche les cheveux en me faisant un petit broshing, enfile mon collant qui donne un très bon effet, il est tellement fin qu'on dirait que je n'ai pas de collant à la différence près que mes jambes brillent légèrement. Je mis ma robe puis me regarde dans le miroir. Bon c'est pas si mal hein. Je regarde l'heure et vois qu'il est 9h53.

Je cherchai un sac dans lequel mettre le nécessaire et en trouva un blanc comme ma robe avec une longue hanse en chaine que je pris. J'y mis des mouchoirs qui se trouvait sur ma table de nuit, mon téléphone, mon baume (car je ne sors jamais sans baume à lèvre) et mon désinfectant.

Je sors de la chambre en oubliant pas de mettre la carte dans mon sac puis vais toquer à la porte d'Elénaé.

-Prête? Criai-je.

Deux secondes après la porte s'ouvrit à la volé et un bras me tira à l'intérieur et claqua la porte derrière moi.

-C'est la panique je sais pas quoi mettre et on est super en retard. Me dit Elénaé complètement paniquée.

Elle sortait de la douche, les cheveux enroulés dans une petite serviette, une grande autour de sa taille avec un soutif vert pomme. Elle se dirigea vers le dressing et me dit:

-Tu me connais enfin comment veux tu que je choisisse parmi ses merveilles.

-Je sais c'est pour ça que j'ai menti sur l'heure et dis 9h30 au lieu de 10h mais il est déjà 9h55 et on va être en retard hors on peut pas se le permettre.

C'était comme une seconde vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant