Formation (1e partie)

210 0 0
                                    

Dans le cadre de ces rencontres, une séance d'échange entre domina portait sur le clinic sex, avec les accessoires appropriés. Ce cours eut lieu dans un donjon spécialement aménagé. La salle était carrelée en blanc du sol aux murs. Au centre de cette pièce, sous un énorme spot, une table d'opération en inox partiellement recouverte d'un drap chirurgical vert attendait son patient. Une fois celui-ci désigné et assis sur le bord de la table, le cours pouvait commencer. D'abord une infirmière vêtue d'une combinaison de la même couleur que le drap lia les mains de l'esclave avec un ruban autoadhésif rouge, et ensuite lui prit la tension. Ce travail fait elle lui apposa un bâillon-boule sur la bouche puis l'allongea sur la table. Les pieds de l'esclave furent attachés avec des menottes aux chevilles fixées elles-même de chaque côté de la table. L'infirmière scinda alors la partie des jambes de la table en deux et les écarta de sorte à ce que les jambes forment un angle de près de 45 degrés. Le V ainsi obtenu laissa à un accès aisé au parties génitales sans pour autant gêner ou empêcher le contact avec les jambes et les pieds de l'esclave. Les deux plateaux furent verrouillées dans cette position. La femme en vert fit le tour de la table et prit les mains toujours entravées et les passa par-dessus la tête du patient, pour les attacher solidement sur le bord haut de la table. De la sorte la poitrine et la paroi abdominale de l'esclave était tendues. Pour la suite les yeux furent bandés. La maîtresse des lieux se tourna d'abord vers l'esclave pour vérifier le travail de l'infirmière puis à la collégiale pour expliquer sa façon de procéder.
"Pour commencer nous allons vérifier la sensibilité de notre sujet. Pour cela nous prendrons à tour de rôle ceci (elle montra la roue à Picots) et allons le tester."
Chacune prit alors l'objet pour voir les réactions que pouvait susciter le roulage des picots sur la peau nue. Certaines n'ont pas hésité à décalotter la verge et de rouler sur la pointe phallique. L'esclave bougea légèrement mais ne put exprimer ses sensations à cause du bâillon.
Après ce premier essai la presentatrice montra un nouvel objet.
"Ceci,mesdames, permet de pratiquer des dilatation anales, vous l'introduisez et le gonflez à votre guise." Elle prit un peu de lubrifiant et introduisit le dilatateur pour ensuite le gonfler un diamètre d'environ 4 cm. "Voyez comment cet orifice est plus accessible maintenant. Je présume que vous avez toutes pénétré votre esclave au moins une fois. Avec cet objet cela devient un jeu d'enfant. Et puisque nous en sommes aux travaux autour de l'anus, je vous recommande vivement le spéculum, qui existe en différentes tailles et types."
"Allons maintenant un peu vers les coups, je les affectionne particulièrement. Ici comme vous pouvez voir les pieds sont très offerts à cet exercice et vous verrez que cela peut devenir très stimulant pour votre esclave."
Sur ces paroles elle prit une petite tapette, et en asséna quelques coups sous la plante des pieds de son sujet d'étude. Directement les réactions furent plus vives au grand bonheur des dames présentes. Ensuite quelques coups sont allés sur le pénis et sur le scrotum.
"Bien, maintenant que notre ami est un peu échauffé nous allons le refroidir avec un autre objet intéressant." Elle leva un sac en caoutchouc avec un grand tuyau au bout et à l'extrémité de celui-ci un embout d'environ 10 cm de long et d'un centimètre de diamètre.
"Ceci est un enema, nettement plus performant que les poires de lavement que vous utilisez d'habitude. Ce sac peut contenir jusqu'à 3 litres de liquide contre un quart dans les poires."elle saisit l'embout pour l'introduire dans l'anus et ouvrit la valve pour laisser le liquide s'insinuer dans l'intestin du patient. Celui-ci au fil du remplissage commença à se tordre dans les limites de ses entraves. Lorsque le récipient fut vide, la maîtresse retira l'embout et inséra un tuyau dans le trou humide pour laisser l'intestin se vider.
"Pour finir joyeusement cette soirée nous allons travailler sur les seins. Vous avez toutes déjà utilisé la roulette à Picots, passons maintenant à la pompe à vide. Celle-ci va rendre le mamelon plus dur et propice aux exercices suivants."
La femme prit une demi-sphère pour la poser sur le sein de son patient et aspirer l'air contenu. Au fur et à mesure du vide le mamelon et son entourage remplaçaient l'air enlevé. Et en effet on put voir le mamelon sortir et se dresser de manière ferme.
"Comme vous pouvez le constater, il sera plus facile maintenant d'utiliser les pinces."
Le point d'orgue de ce spectacle fut la séance de flagellation, qui allait être pratiqué par les 8 Maîtresses présentes. Pour cela le sub fut libéré de la table d'opération et accroché à un tréteau surmonté d'un carcan. Les yeux à nouveau libérés du bandage, il se trouva devant trois miroirs, dans lesquels se reflétait son image. Ainsi il put suivre tous les faits et gestes des personnes qui l'entouraient. La dominatrice prit tantôt une cravache tantôt une canne ou un badin jusqu'à ce que toutes soient outillées. Alors l'esclave fut battu et cravaché pendant un long moment. Entre-temps l'une ou l'autre alla tâter de la consistance de la verge, pendant que d'autres posaient leur partie génitale devant la bouche de l'esclave, pour se faire lécher, chose difficilement réalisable vu la position de l'homme entravé.
Après cette flagellation en règle l'homme fut rendu à sa maîtresse.
"Tout ce que vous voyez ici vous pouvez le reproduire aisément. Il ne vous reste plus qu'à mettre tout en pratique. Mon cours se termine pour ce soir, je vous souhaite une bonne soirée et un bon retour."
Et la collégiale des Dames dominatrices se quitta et chacune promit de réitérer une pareille réunion bientôt.

Histoires à lire à 2 ou plusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant