l'évolution vers le sommet

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Au fil du temps la panoplie vestimentaire de la dame de maison s'enrichit de quelques nouvelles tenues. Cependant sa préférée était sans doute ensemble pantalon noir, gardant le haut du corps et les seins nus. Son esclave aussi semblait apprécier cette tenue car elle l'autorisa de temps à autre à embrasser les corolles et à les lécher.
Mais son plus grand plaisir à elle était toujours de griffer son étalon lors des ébats.
C'était d'ailleurs ainsi que tout avait commencé : un soir il lui demande de pincer ses mamelons pendant l'acte. Ce pincement devint au fil du temps morsure puis utilisation de pince à sein. Mais à ce moment-là elle ne le fit que pour lui faire plaisir.
Lui ressentait la douleur non pas comme telle mais comme stimulant, au point qu'un rapport sans ces artifices lui apparaissait comme monotone. Et c'était très souvent lui qui demanda à sa tendre moitié de passer à l'acte, de ne pas hésiter et que la douleur pour lui était intéressante voir plus. Elle craignait surtout par-dessus tout que le moindre bruit ne puisse éveiller les soupçons des enfants qui dormaient à proximité. Donc logiquement elle ne voulait pas passer à l'acte tant que ceux-ci étaient dans les environs.
Elle acceptait bien de temps à autre un caprice de son mari mais sans réellement y prendre plaisir.
Maintenant la situation avait changé. Le fait de dominer quelqu'un de la sorte lui avait conféré une telle confiance en soi que plus rien ne l'effrayait. Elle retrouvait les paroles de la dominatrice au début. Ces paroles disaient que plus on domine plus on aime dominer.
Même le fait que les enfants soient dans leur chambre ne la gênait quasiment plus. Certes elle s'opposa au châtiment par les coups, le bruit étant trop important, mais les séances de pénétration ou encore le médical étaient devenus plus facile pour elle.
Le comble cependant fut qu'elle fit connaissance d'un cercle de dominas, et entre elles les échanges d'expériences lui donnèrent encore davantage d'idées. Ainsi était né en échange ou un prêt d'esclaves entre elles. Du coup son esclave se vit offert à une autre maîtresse pour une heure ou deux voire une journée entière.
La seule chose qu'elle se réservait absolument était la relation sexuelle. Aucune autre personne n'était autorisée à ce jeu sublime.
Tout le reste était permis. Un exemple : une dominatrice de la région qui avait utilisé l'esclave pour une démonstration de domination. Tout y passa dans cette séance, depuis l'humiliation verbale par les différentes pénétrations et dilatations  jusqu'à l'utilisation de l'électro.
C'est dans le cadre de ces rencontres qu'allaient avoir lieu des séances de formation.

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