"Chaque moment compte."
Résumé : Certaines personnes, peu importe combien elles peuvent essayer, ne peuvent pas échapper aux démons que leur imagination engendre.
Avertissements: Aucun
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Point de vue des personnages.
Il était tard dans la nuit. Nous venions de rentrer d'une mission et j'aurais aimé dormir. Mac avait dit qu'il se coucherait dans une minute et j'étais tout simplement épuisée, alors je me suis endormie sur le canapé. J'ai entendu Mac glousser un peu en me voyant. Et je l'ai senti s'asseoir à ma droite..... et se blottir à côté de moi. C'était avant que je ne tombe dans un sommeil plus profond et que le cauchemar ne commence.
Je courais plus vite que jamais, juste pour pouvoir survivre mais mon corps s'affaiblissait de plus en plus. C'est jusqu'à ce que je trébuche sur ... Quelque chose. Et mon visage à rencontrer le sol.
Je sentais l'adrénaline couler dans mes veines et mon cœur qui battais très vite.
Un homme arriva et tourna autour de moi. Il rigola avant de se rapprocher de moi et il commença à me donner des coups de pied et des coups poing comme si j'étais un punching-ball.
Pour ce qui me semblait être des années de torture avant qu'il ne s'arrête, m'enchaîne, m'assigne un garde pour me surveiller. Quand il est revenu vers moi, il a ordonné à ses hommes d'aller chercher les autres. Les autres ? J'ai failli demander.
Les hommes sont rassemblés autour de mon équipe. D'abord, Bozer a été envoyé au sol sans trop de problèmes. Ensuite, Thornton a tenté de s'échapper, mais elle a été trop malmenée.
Riley avait saisi les poignets et les mains de l'homme, mais elle est quand même tombée.
Jack. Jack s'est battu avec acharnement, il a donné des coups de pied, il a crié tous les mots de malédiction imaginables, mais il a été abattu avec une crosse d'une arme à feu.
Mes yeux ont atterri sur le dernier. Un homme blond, bien bâti, qui détenait aussi la clé de mon cœur. Angus Macgyver.
Maintenant, il a juste crié en hurlant sur le gars derrière lui et a abattu cinq gardes avant que je ne sente un coup sur ma tête. Il s'est figé.
"Macgyver. Quand apprendrez-vous ? Je gagne toujours. Maintenant, baissez-vous s'il vous plaît." Il a fait comme on lui a dit.
"Bien. Nous nous comprenons. Dommage que je doive lui faire sauter la cervelle." Il était prêt à appuyer sur la gâchette.
"Non, non, attendez ! Tuez-moi à sa place ! Abattez moi, fils de..." il l'a coupé dans sa phrase avec une balle dans la tête.
Je suis tombée, j'ai crié, j'ai donné des coups de pied, j'ai pleuré. Mais d'une manière ou d'une autre, j'ai réussi à l'atteindre. J'ai crié de plus en plus fort. Espérant que si je criais assez fort, le ciel pourrait m'entendre et le ramener. Je l'ai frappé sur la poitrine avant de foncer sur le garde le plus proche.
Je me suis réveillé en transpirant, Mac disant mon nom encore et encore et encore.
J'ai senti quelques larmes couler sur mon visage et il m'a serré contre sa poitrine. Bozer se tenait debout dans son slip à côté de moi, la main sur mon épaule. Je l'ai à peine remarquée.
« Shh je suis là, je suis là »Mac me la marmonné encore et encore.
Il a échangé un regard rempli d'inquiétude vers Bozer et il m'a serré plus fort. Je jure que je n'ai jamais pleuré aussi intensément.
Après que mes sanglots se soient éteints, Bozer m'a demandé : "Tu vas bien ?"
J'ai hoché la tête, mais j'ai continué à enfouir ma tête dans la poitrine de Mac.
Une heure plus tard, après avoir été incapable de dormir, nous avons décidé de faire un petit pillage de la cuisine, puis il m'a tenu pendant que nous nous sommes tous les deux endormis un peu plus paisiblement.
C'est jusqu'au moment où nous nous sommes réveillés le lendemain et avons découvert que j'avais de la fièvre et que j'étais malade et que je devais donc rester à la maison pendant qu'il allait travailler. J'ai été laissée entre les mains de Bozer.
P.D.V Mac
En sifflotant , je me promène dans les couloirs familiers de la Fondation et je brandis un trombone dans ma poche. Jusqu'à ce que Jack vienne me voir avec un sourire sur le visage.
"Salut, mon pote."
Je l'ai ignoré.
"Mon pote?"
"Mon pote? "
"Mon pote?"
"Mon pote?"
"Quoi ?!" J'ai finalement crié et son sourire s'est agrandi.
"Avez-vous été sur Facebook ces derniers temps?"
"Non."
Il savait bien que je l'avais supprimé il y a des années.
"Eh bien, laisse-moi te montrer."
Il a sorti son téléphone et m'a montré ceci:(La photo est deux personnes endormies sur le divan en mangeant des chips.)
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810 mots
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Écrit par walkingdeadsurvivorT
Traduit par moi :)
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MacGyver Imagines
Fanfiction/!\ CETTE HISTOIRE NE M'APPARTIENT PAS. C'est juste une traduction de l'histoire de @walkingdeadsurvivorT :) "Le désespoir tend à faire une sorte de souplesse"