La guerre des royaumes

Chapitre 2

Adrien

-T'a eu de la chance d'avoir su que les elfes du printemps partaient pour une mission importante sinon c'était le mariage avec la princesse Ariana dit le jeune Prince Kenric.

-M'en parle même pas, j'ai envie de vomir quand j'entend ce prénom.

-Tu ne l'as jamais vu comment tu peux dire ça .

-Tu as déjà vu de l'eau et du feu ensemble. Non! Eh bien c'est la même chose.

-Bien sûr que non notre tante est bien la concubine du roi Aldaron rétorqua Kenric.

-Oui bien sûr mais de toute façon mère peut toujours rêver pour que j'épouse une princesse ennemie. Je peux très bien devenir Roi sans union avec qui que ce soit!

-Tu ne diras plus ça après l'avoir vu me dit-t'il avec un clin d'oeil.

-On verra bien.

-Ok on pari, mais par contre si tu veux être parti avant elle nous devons nous dépêcher les portes de la ville sont ouverte depuis un moment pressa Kenric.

-Tu as raison de plus si elle nous trouve il faudra faire attention à nos provisions. Elle est la meilleure guerrière de la citée Elfique et elle pourrait bien nous mettre des bâtons dans les roues quant a notre mission Kenric. Accélère un peu tu veux?

-Elle n'est pas mauvaise soit mais meilleure que toi ce n'est pas possible.

-Fais attention a ce que tu dis tu pourrais la vexer.

-Haha pauvre princesse, mais Adrien elle a bien deux soeurs?

-Je crois oui mais si c'est ce que tu demande elle sont déjà fiancée a de prestigieux époux.

- Non...non c'était juste pour savoir.

-J'espère que je pourrais rester célibataire toute ma vie... soupira Adrien

-Mon pauvre frère je ne savais pas que tu voulais un destin encore pire que le miens. Une princesse désirée que je ne pourrais jamais épouser a la limite ça s'oublie mais rester célibataire sérieusement tu est presque roi il faudra bien que tu t'y fasse. Le Roi a pour devoir de donner des héritiers au royaume.

-Tu n'est même pas encore marié en quoi mon destin est pire, je fais ce que je veux je vais devenir roi seul et célibataire. Bon trêve de discussion on ferait bien de partir mon frère.

-Allons-y!