Alma - Regardons la lune.

Chapitre XIII.

A chaque fois que tu me blesse, j'ai un peux moins mal.
Samuel Frederick Smith.

- Alma comment tu va ? Commença Amir.

- Amir pour l'amour de Dieu sort d'ici et ne revient plus.

- Alma tu sais bien que c'était pour toi.

- pour moi, tu rigole Amir tu sais pas lire t'es aussi con que sa ? Questionnai-je.

- Alma...

Il n'avait pas finit sa phrase que l'homme qui l'accompagna le coupa en disant, avec la plus grands dès cruauté.

- putain mais tu va laissez une putain de dépressive qui n'a même pas réussie à se suicider te parler comme ça ?

Je ne l'avait jamais vue avant et pourtant c'est mots m'avait blesser je me mordu la lèvre pour ne pas pleurer. Il avait raison. Pour qui je me prenait ?

- lui parle pas comme ça Amar, tu sais pas ce qu'elle a vécu ta mère. Répondue Amir.

- j'en ai rien à foutre de ce qu'elle a vécu la petite immigrée moi je voulais voir qui était la petite désespérée qui avait écrit cette merde, et maintenant rien que respirait l'air d'une meuf comme elle sa m'étouffe Amir c'est elle la fameuse Alma ? Ajouta-il en riant.

- Je suis une attraction pour t'es amis Amir ? Dis-je le coeur lourd.

- Alma je te jure c'est pas juste un pote il en parlera à personne. T'es pas une attraction.

Je détourna le regard vers son amis. Je ne l'avait jamais vue avant et pourtant il m'avait l'air familier, son regard était le regard d'un homme de confiance et pourtant c'est mots sont si dur.

- elle est jolie rien de plus, sans c'est yeux elle est pas ouf je suis sûre. Ajouta-il.

Son amis avait raison je ne suis rien de plus qu'une façade. Mais comme même quel sacré connard.