COME BACK !!!!!
J'étais assis devant la télévisons, comme d'habitude quoi ! Je ne peux même pas sortir deux minutes dehors sans avoir le droit à un interrogatoire musclée donc j'ai finis par arrêter de m'acharner et accepter le faits que les filles musulmanes n'ont aucune liberté.
Je dis bien les filles parce que les garçons, ils peuvent faire tout ce qu'ils veulent quand ils veulent, c'est injuste.
Je m'ennuyais mortellement quand soudain j'entendis des bruits de foules, les bruits de pas se faisaient plus lourds, je me levai d'un bond de mon fauteuil, et j'ouvris la fenêtre et je vis une chose si incroyable et si monstrueuse.
Les gens criaient : « Abat la dictature, vive la république » ils portaient avec fierté les couleurs de l'Irak. Une chose est sure ils sont déterminée. Je regardai avec admiration quand mon père et mon idiot de frère débarquèrent le sourire aux lèvres.
- Wiam ! Enfin la République, c'est un jour nouveau, s'écria mon père
- Sœurette le gouvernement est fini, surenchérit mon frère
Je souris avec eux mais je me dis que le gouvernement aussi peureux et lâche qu'il soit ne va pas tarder à riposter
- Arrêtez de crier comme des sauvages, on pourrait vous entendre, les gens ici sont des hypocrites quand le gouvernement de salaud qu'on a voudra capturer tous les résistants, on sera dénoncer
Le sérieux de ma mère m'étonnera toujours. Elle arrive comme ça et elle gâche les rêves des deux hommes ici présents, les pauvres.
La nuit arriva très vite, les étoile étaient plus brillante les unes que les autres, j'ai toujours adoré la nuit a jour, la nuit mystérieuse et fascinante alors que le jour c'est tout le contraire. Quand je commence à parler de la Lune et du soleil c'est que je commence à délirer et quand je commence à délirer j'ai besoin de sommeil !
Je montai dans mon lit, à la minute ou ma tête toucha mon oreiller, je n'avais qu'une seule envie dormir et ne plus penser à rien. A la minute ou mes yeux se fermèrent, j'entendis un « BOUM » et encore un autre.
Que ce passe-t-il ? Je me levai et regardai par la fenêtre et là un carnage, des flammes jaillissaient des immeubles, les cris des familles dont le toit à été bruler, des morts. L'apocalypse derrière ma fenêtre.
- Wiam vient tout de suite et ferme cette maudite fenêtre, dit mon père en faisant intrusion dans ma chambre
- Que se passe-t-il ? demandais-je en fermant ma fenêtre
- On n'a pas le temps pour les questions, on descend
Il me prit par la main et on sortit de ma chambre le plus vite possible, on sortit de l'appartement, on été tellement pressé qu'on n'a même pas pris le temps de fermer la porte espérons que des voleurs ne vont pas nous faire chier.
Dans les escaliers c'était le carnage on dirait que presque toute les familles c'étaient donnée rendez-vous ! Tout le monde était paniqué, mon père pris sa lampe torche et nous descendions à pas chancelant dans le sous sol.
L'ambiance état étouffante, tout le monde avait peur, on avait rejoins ma mère et mon frère dans un coin sombre de ce qui était un refuge anti-bombe.
- La au moins on est en sécurité, dit ma mère
En sécurité c'est vite dit, les bombardements continués, pendant des heures et des heures.
***
Les semaines passaient, et les combats entre les résistant et le régime étaient de plus en plus violents. Tout le monde à peur. Le gouvernement craignait qu'un coup d'état se prépare du coup il multiplié les arrestations et les fusillades, l'ambiance était chaotique ! On ne peut même faire confiance à ses voisins ou qui que se soit, on est seuls.
