Labyrinthe [Fanfiction]

Chapitre 5

-Ah tu te réveille enfin. S'exclame Chuck soulager.

-On a eu peur tu sais. Me dit Thomas.

-Et Ben comment il va ? Demandais-je.

-Pas bien du tout. Me répondit Alby d'un ton grave.

-Qu'est-ce qu'il a ?

-Dans le labyrinthe il y a ce qu'on appel des griffeurs...

-Et les griffeur sont les responsable de se qui arrive a Ben ?

-Exactement.

-C'est horrible. Mais il y a aucun remède contre ça ?

-Non ou si il y en a un on en possède pas.

Après cette triste nouvelle je fini par me rendre compte que j'étais en sous vêtement sous la couverture qui me tenait chaud. Je les regardais d'un air interrogateur et Thomas compris de suite ma question et me dit :

-T'inquiète. Jack qui est le « médecin » du Bloc à juger que c'était nécessaire pour que tu cicatrise car mine de rien tu te l'étais bien enfoncer cette branche.

-Ok. Bon sa ne me dérange pas que vous vous me voyez dans cette tenue mais s'il vous plait ne laisser SURTOUT PAS Gally entrer ici. Ni Newt.

-Comme tu veux c'est toi qui décide. Me dit Thomas.

-Tu vas leur dire Chuck. Demanda Alby.

-Tout de suite.

Au moment où il allait sortir pour les prévenir ils arrivèrent tout les deux en même temps. Gally se précipita à mon chevet. Il me prit la main et me dit d'une voix douce :

-Sa va ? Tu es réveillé depuis longtemps ? Il c'est passer quoi ?

-Alors une question a la fois s'il te plait.

-Comment tu te sens ?

-Sa va. Et toi sa va ?

-Oui pourquoi ?

-Pour rien.

Pourquoi était-il aussi gentil avec moi d'un coup ?

Newt sortit de la cabane.

-Qu'est-ce qu'il a ? demanda Chuck.

-Je ne sais pas. Il était plutôt inquiet pour Katia puis quand il a sus qu'elle était réveillée, il avait l'air vraiment très soulagé. Répondit Gally.

J'étais vraiment confuse de leurs réactions à tous les deux. Mais je ne m'arrête pas la dessus je ne changerais pas mon point de vue sur eux, pour le moment.

Je reste encor deux jours à l'infirmerie. La journée Thomas et Chuck se relayais pour que je ne sois pas seule et le soir c'est Gally qui venait a mon chevet. Il n'était plus se pervers de mes premiers jours, il était devenus beaucoup plus gentil, plus doux. Quand je suis sortit c'était l'heure pour les coureurs de revenir. Alby avait pris la place de Ben. Avec Chuck et Thomas on se rendit devant le Labyrinthe pour attendre leur arriver. Mais rien. On commençait vraiment à s'inquiéter pour eux. Les murs du Labyrinthe commencèrent à se refermer quand on les vis arriver sauf que Minho trainait Alby. On les encourageait mais ils étaient loin de la sortie. Je me retourne vers Thomas et lui demande :

-Si les portes se referment et qu'ils sont coincés dans le Labyrinthe que se passera t-il ?

-Personne n'a jamais survécus pour nous le dire.

Mon visage devient blanc. Je voyais les portes se fermer et eux être si loin. Tout un coup Thomas se précipita dans le Labyrinthe et les murs se referment sur lui.

-THOMAS !!! Cirais-je.

Mais c'était trop tard les murs c'était refermer sur eux. Gally vient près de moi :

-Je suis vraiment désolé. Mais aussi c'est un crétin quelle idée d'aller là dedans.

Je me retourne vers lui le regarde avec mes yeux plein de larme et le gifla. Puis je m'éloigne de lui. Chuck me rejoint. Je le regarde et me mis à pleurer. Il me prit dans ces bras en me disant :

-Ne t'inquiète pas. Ils vont revenir. J'ai confiance en Thomas. Minho connais le Labyrinthe comme il connaît le Bloc.

-Merci Chuck.

-Pourquoi ?

-Merci d'être toujours là pour moi et de me rassurer. Je suis plus veille que toi, se serais plus tôt à moi de te consoler.

-Mais c'est mon rôle en tant qu'ami.

Je le regarde et le serre dans mes bras. Avec Thomas il était la seul personne que j'avais. La seule personne que je considérais comme ma famille. La nuit tombe rapidement. Je ne mange rien et je vais me coucher mais impossible pour moi de dormir je m'inquiétais trop pour Thomas. Je suis donc aller un peu marcher.

Je fini par m'endormir sous les étoiles. La lumière du soleil me réveilla. Je me lève et alla me passer un peu d'eau sur le visage. Je retourne au campement pour aller voir si Chuck était réveiller, se qui était le cas :

-Salut. Me dit Chuck.

-Salut.

- Comment vas-tu ?

-Mal.

-Tu as dormis ?

-Pas beaucoup.

-Moi non plus.

Je pousse un long soupire qui voulait dire beaucoup de choses.

-Aller vient. Me dit-il en me faisant un signe de la tête.

-On va où ?

-On va aller les attendre.