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Je ne sais combien de temps il me reste, mais je pense qu'il faudrait que je me dépêche. j'allume le jet d'eau de la douche et après avoir retiré ma courte robe et ma culotte, je remarque les bleus, les égratignures et les poils sur mes jambes.  je m'engouffre dans un espace clos appeler «douche» mais qui reste à la fois une douche qu'un bain et rince entièrement mon corps. Je m'assoie au sol de la douche tout en agrippant le savon déposé sur un support. Je commence à frotter ma peau délicatement et ce, partout sur mon corps, autant mon dos que mes chevilles. 

J'aperçu un rasoir sur le même support d'où ce trouvait le savon. Je m'étire légèrement et attrape du mieux que je peux l'objet voulu. Je pose la lame au sol de la douche et reprend ce que je fessais.

Je rince mon corps en entier, toujours assise au sol. Je pris le rasoir soigneusement déposé à quelques centimètres il y a quelque secondes. J'enlève la protection et vis les poils qui couvraient mon corps.

 Peu avant d'être enfermé pendant des mois, ma mère adoptive, celle qui était mariée et avait d'autre enfants, m'avait montrée comment me raser. Je ne me rappelle que de peu de ce qu'elle m'avait dit mais j'en est retenu les bases. 

(10 minutes plus tard)

Après avoir finis ma douche, je me suis abritée les épaules d'une serviette que j'ai facilement trouvée dans un petit placard de la salle de bain. Je me rends à la commode de la chambre et y prends les vêtements que je devais mettre puis les enfiles.

(Quelque minutes plus tard)

un homme rentre dans la chambre sans cogner et dès qu'il me voit, je voie dans son regard qu'il est perversement intéressé par mon corps. Il me signale de le suivre et j'obéis, je n'ai d'autre choix de toutes façons. Toujours avec mon émotion neutre, et de même pour mon comportement, je suis l'homme. 

Après quelques minutes de marche rapide, on arrive devant une porte que l'homme ouvre pour me laisser entrer. Il me laisse passer et ferme la porte derrière moi. Quelques hommes habillés en noir ressemblant à des gardes de sécurité ce trouvent dans la salle. La salle est grande et spacieuse. Un lit de couleurs sombres orne la pièce. Quelques autres meubles, la plupart présent que pour décorer sont dans le décors et ce font remarquer grâce au murs pâles. 

je suis à coter de deux autres filles, toutes les deux portes le même genre de tenue que la mienne. Des sous-vêtements en dentelles, des talons décoratifs, des portes-jarretelles et autres. Je suis mal à l'aise même si j'ai été habituée à être peu habillé, sauf qu'en ce moment, c'est autre chose.

Les autres filles ont l'air apeurées et pleure en silence pendant que moi, je regarde le sol sans émotion. 

Un homme en peignoir, gros, laid et répugnant ce trouve assis sur le lit devant nous, je le fixe, il nous regarde sans rien dire. Il ce lève et s'approche de la fille du milieux pendant que moi, de sa droite, je la regarde. 

Il ce positionne tout juste devant la fille et tiens son menton d'une main. Puis, après l'avoir longuement regarder dans les yeux, il embrasse la jeune.

Je suis en quelque sorte choquée, je ferme donc mes yeux du mieux que je peux. 

L'homme fait un signe de main au deux gardes et directement ils obéissent à ses ordres. Les agents de sécurités ce positionne derrière moi et une autre fille. La fille du milieux ce fait entraîner violemment vers le lit. 

La brune, celle qui s'est fait emmener vers le lit, ce fait un malheur d'obéir à l'homme qui nous fait potentiellement peur à chacune d'entre-nous. Pendant ce temps, Les deux hommes nous tiennent fortement la tête et nous obligent à garder les yeux ouverts. J'ai mal à cause de la façon que l'homme me tiens, je pense que c'étais prévu aussi. Les talons-hauts de la jeune ce font retirées de ses pieds par l'homme indésirable.

Dans les couvertures noirs et rouges, la brune ce fait licher le cou par le porc dont je ne connais pas le nom. Elle est assise comme une sage, à genoux, avec ses mains positionnées sur ses cuisses. Elle me fixe dans les yeux, comme si elle voulait de l'aide de ma part mais je ne peux rien faire pour elle.

D'un coup, l'homme en peignoir projette la jeune fille quelque peu en arrière afin de la coucher. 

Je commence à me sentir mal.

Il embrasse sa bouche, son menton, son cou et descend de plus en plus. Je voie dans le regard de la jeune qu'elle souffre, qu'elle vit un traumatisme, qu'elle aimerait tant comme moi que sa s'arrête, mais contrairement au attente, l'action continue. Je la voie pleurer très fortement, ses yeux deviennent rouges, les larmes roules sur ses joues. 

Le gros, laid, complètement imparfait à mes yeux décroche le soutiens-gorge  de la fille et comme par malheur, l'attache devait ce trouver à l'avant. Les seins d'une pure inconnue ce trouvent à la vue de tout ceux présent dans la salle.

Je suis dégoûtée du spectacle qui s'offre à moi, de voir un viole et non le ressentir pour une fois, c'est certain que je n'aurais pas aimer être à sa place pour lui laisser la mienne mais reste que je ne veux pas qu'elle souffre de cette façon. 

Le pire dans tout ça, c'est que je sais que ce n'est pas finis.

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Yoo! Un gros désoler à mes lecteurs qui ont patienter plus longtemps que prévu pour ce chapitre, je n'ai malencontreusement aucune excuse pour ce fait. Tout de même, j'espère que la suite est toujours à votre goût et que mes chapitres vous donne toujours envie de suivre l'aventure! Même si je me répète, n'hésiter pas à laisser votre avis en message privée ou en commentaire mais je vous demanderais d'avoir un minimum de respect peut importe votre jugement et de faire des phrase constructives.

Kiss~

TorturéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant