Torturée

VII

L'homme de cette fois-ci me regarde dans les yeux, me déstabilisant. On m'ordonna de me lever, c'est donc ce que je fis du mieux que j'ai pu sans tomber à cause de mes talons. L'homme au cheveux brun se lève du lit bleu marin. Il m'ordonne de m'approcher et c'est ce que je fis. Il me pousse sur le lit et j'y tombe sur le dos tout en laissant échapper un petit cris de surprise.

L'homme se mit au dessus de moi, en califourchon. Il retire sa ceinture et baisse son pantalon. Je le regarde, surprise et choquée de la rapidité des évènements.

Pendant ce temps, les autres, les gardes, eux, ne disent rien.

L'homme au cheveux châtain m'arrache mon string et m'écarte les jambes sans attendre. Je ne veux tellement pas que je sens mon âme partir loin d'ici, loin de mon corps.

Je crispe mes doigt et m'accroche au draps tout en regardant dans les yeux l'homme qui n'a l'air d'avoir aucune pitié.

Ensuite, c'est ainsi, qu'il se permit de me pénétrer sans attendre, sans lubrifiant ou quoi que ce soit qui pourrait aider.

Je gémis de douleur mais me pénétrer lui importe plus alors il ce contente de plaquer sa main sur ma bouche, m'empêchant de respirer correctement.

Je sens les larmes ce forger au coins de mes yeux.

Il fait des vas et viens rapide sans se préoccuper de moi. En même temps, pourquoi le ferait-t-il?

Le violeur gémit de sa voix rauque, me faisant venir un envie de vomir.

(15 minutes plus tard)

Un gardien m'a emmener dans ma chambre après que mon violeur est finis ce qu'il avait à faire.

En ce moment, je suis au sol de la douche. Mon cerveau essaye de ce remettre de ce qui vient de ce passer mais je reste seulement figée, ne sachant pas quoi penser.

«Je veux partir d'ici...» marmonnais-je à voix basse. Je rapproche mes genoux vers ma poitrine et met mon front contre mes genoux tout en fermant mes yeux.

(Une semaine plus tard)

Cette semaine, j'ai vu les violes de toutes les couleurs. C'est à ce demander si je manque d'expertise.

(Le lendemain)

Le soleil réchauffe mes yeux endormies pendant que je me réveille d'un petit sommeil de seulement cinq heures.

Je cligne des yeux et m'avance vers la fenêtre. «Et si... Je m'enfuyais?» pensais-je.

Je regarde l'extérieur, comme si c'était une première fois puisque j'ai rarement eu la chance depuis mon arrivé. Les chemins de graviers et sables me montrent que nous ne sommes pas forcement dans un endroit riche.

Il n'y a presque rien à perte de vue. Sauf une station d'essence qui m'a l'air d'être à un kilomètre.

Puis, j'entends cogner à la porte, tout doucement.

«Je peux entrer?» ce fais entendre d'une voix douce et féminine.

Je me lève et sous le stress, j'avance tranquillement vers la porte.

«Qui peux bien être là?» pensais-je.

Je tourna la poignée et ouvris quelque peu la porte.

Une jeune fille ce tient dans le couloir, tout juste devant ma porte.

«Je peux t'aider?» demandais-je incertaine de ce qui ce passe.

«Laisse moi entrer s'il te plaît.» me dit-elle tout doucement.

J'ouvre la porte pour la laissé passé et la referme.

«Les gardiens nous laisse jamais parler à personne ici alors je me demandais si cela était interdit.» me souris la petite.

«Je m'ennui à être tout le temps seule dans ma chambre alors je veux me faire des amis.» enrichi la jeune.

Mes lèvres forme un «O» lorsque je comprend le pourquoi de ça venue.

«Mais... Dis-moi, quel âge as-tu?» demandais-je.

«Je ne sais pas, cela fais longtemps que je suis ici. Mais je me souviens d'être née en 2010.» m'annonce la jeune.

2010... Il me semble être en 2016 depuis quelque mois donc elle aurait...

«six ans..» pensais-je à voix haute.

Elle est si jeune et déjà dans un lieu de torture.

«Et quel est ton nom?»

«Je m'appelle Kimsi.» répond la petite.

«Enchanté Kimsi, moi je m'appelle Angel.» souriais-je.

Elle me regardait avec des prunelles remplit d'émerveillement. Elle n'a pas les air d'une fille qui sait ce qu'elle vit.

La porte s'ouvrit et je n'eu que le temps de l'entendre claquer avant de réaliser que c'était un gardien. Et c'est repartis...

Il s'avança vers moi. M'agrippa la chevelure et m'emmena avec lui sans réponse. Il s'arrêta au seuil de la porte et ce retourna vers la jeune fille.

«Retourne dans ta chambre, sale gosse.»

Kimsi baissa la tête et accouru dans le couloir sans même attendre.

L'homme ce remit à me tirer. J'essaya de me défaire de sa prise mais impossible.

Arriver devant une porte différente que d'habitude, il me lâche et m'ordonna de rentrer par moi même. Étonnant.

J'aperçu les tâches d'irritations sur mes pieds, chevilles et jambes. Au moins j'ai été frottée sur du béton et non un tapis. Le sang perle sur mes jambes.

Je me releva en m'aidant avec la porte solide.

La poignée tourne sous ma force et la porte s'ouvrit, lentement mais sûrement. Je mis un pied devant l'autre. Et m'engouffra dans la grande salle.

Les murs sont tapissés de velours rouge. Des meubles noir et des objets de valeurs sombre remplissent la salle spacieuse. Un grand lit rouge et noir ce trouve au fond pendant que les meubles sont remplies d'objets étrange.

Je m'approcha d'une table où pleins de fouets sont présent.

Le grincement d'une porte résonne et je me retourne vers le son. Une porte à coter du lit se referme derrière un homme. Il est grand, vêtu d'un costard, ayant une barbe naissante. Il paraît différent.

«Tu sais ce que c'est le bdsm?» demande l'inconnu qui me fixe sans réaction facial.

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Yuo~ ça fait un bail, n'est-ce pas? En tout cas, je suis heureuse d'enfin avec dépassée les 900 mots pour enfin pouvoir vous postez du contenu *^* j'écris actuellement 3 livres et j'ai peu de temps pour écrire donc c'est compliquer pour trouver du temps pour ce livre. Merci à ceux qui continu d'être là ou même arrive ^^

PS: la correction du livre et des ajustements vont avoir lieux, j'essaye de l'améliorer et une très bonne amie à moi fais toute la correction donc un gros merci à toi, si tu lis ça <3

Kiss~