VI

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C'est tout juste à cet instant, au moment que j'ai senti une goutte d'eau tomber sur mon pied, que j'ai compris que je pleurais moi aussi, et ce à chaude larme. j'essaie de me dégager de l'homme qui me tient fortement mais mes actions furent vaines.

Le gros enlève son peignoir, nous dévoilant son corps répugnant.

J'ai si mal de ne pouvoir rien faire pour cette pauvre fille. Elle pleure si fort.

Je jette un coup d'œil vite fais à la fille rousse qui ce trouvait à la gauche de la brune avant que celle-ci ce fasse emporter vers le lit. Elle essaye du mieux qu'elle peut, sans grande force, à ce dégager de l'homme qui la tient fortement.

Je remet mon regard à où il était il y a moins d'une minute, sur le viole qui ce fait présentement sur le lit devant moi. l'homme indésirable qui m'a bien l'air d'être quelqu'un d'important ce dépêche d'aller chercher un petit emballage carré sur une table de nuit. Il fait ce geste en disant de sa voix rauque «Je ne veux pas d'enfant.» Il déchire l'emballage et y sort un objet ronds, qui m'a l'air gluant, je comprend que ceci doit être un préservatif. Il enfile l'objet sur son engin sexuel du mieux qu'il peut. Puis, il ce glisse à l'intérieur de la fille. Son cris sanglant me fige sur place. Elle pleure et cris pour qu'il arrête mais son souhait ne ce réalise pas.

Je suis déconnectée de la réalité. Mes jambes me lâchent et je me retrouve au sol pendant que le gardien qui doit me surveiller reste perplexe. Il ce sait pas trop comment agir alors il me surveille sans me toucher. Ce serait probablement ma chance de fuir de cette pièce mais je crains les conséquences de cet acte.

L'acte de viole s'arrête enfin. L'homme ce dégage de la fille brune et remet son peignoir qu'il avait rapidement retirer plutôt.

Le gardien qui s'occupe de moi m'oblige à me relever et sors de la pièce en m'entraînant avec lui. J'entend provenant de la pièce que je viens tout juste de quitter quelqu'un prononcer une phrase, «Espèce de faible.». J'imagine que la personne qui a dit ça s'adressait a celle qui vient de ce faire violer. Le point du gardien entoure fortement mon bras. La porte de la salle claque derrière nous. Il va trop vite pour moi, je frôle de trébucher plusieurs fois. Nous marchons jusqu'à se rendre devant la porte 138. Le gardien ouvre la porte et me jette à l'intérieur de la pièce qui, je réalise, est ma chambre. En atterrissant au sol, un de mes genoux est venu s'érafler sur le sol en béton.

Je remarque par les reflets traversant ma fenêtre que le soleil est en train de ce coucher

La force pour me relever est présente mais l'envie ne l'est pas. Je m'oblige à me lever et me dirige vers le lit qui m'a l'air très peu confortable. Je me couche dans celui-ci et m'endors lentement en sentant le coucher du soleil flatter mes paupières.

C'est ainsi que je dormis quelques heures.

(7 heures plus tard)

J'ouvre mes yeux doucement, cligne mes yeux quelques fois et frotte mes paupières avec mes doigts. J'observe la fenêtre face à moi, sur le mur coller à mon lit. Le soleil n'est pas encore présent dans le ciel, mais il devrait bientôt arriver.

J'entend des bruits d'agitation venant de l'autre coter de ma porte de chambre. Un sifflement suivi d'un cris aigu provenant du couloir. Je ferme les yeux et fais de mon mieux pour faire semblant de dormir pour éviter qu'on vient moi aussi me chercher. Quelqu'un ouvre bruyamment ma porte et j'entends juste cette personne m'ordonner de venir. Je fais toujours semblant de dormir. L'homme s'approche de moi, et me souffle ces quelques mots au visage: réveille toi ou tu auras l'honneur de sentir ma queue entre tes jambes. Je me recula du mieux que je peux de lui et me colle au mur. Fière d'avoir réussi à me faire bouger aussi vite, il m'annonce que je dois aller me préparer, car j'ai encore quelque chose de prévu aujourd'hui. je sais déjà quel sort on me réserve. Il place quelques vêtements rouge sur la commode. Puis, il sort de la pièce, me laissant là, seule avec des vêtements qui n'ont guère l'air approprié pour une sortis.

Je me lève, et vais observer les vêtements laisser là. Un soutient-gorges en dentelles rouge où le tissu ne cache en rien les tétons. Un string assorti qui lui aussi, ne cache rien. Puis, des talons hauts noir avec le dessous et le dedans rouge. Je n'approuve pas l'idée de me promener dans ces vêtements, mais j'imagine que je n'ai point le choix.

Je prend les vêtements et vais à la salle de bain, prendre un bain.

Je me dépêche, puis, après avoir enfiler ces vêtements, je vais dans ma chambre. Je m'assis sur le lit et regarde par la fenêtre le soleil qui se lève tranquillement mais sûrement.

Après quelques minutes, le même homme que tantôt rentre avec une brosse à cheveux à la main. Puis, il me dit «Dorénavant, tu te brosseras les cheveux pour éviter d'avoir l'air d'une folle, compris?». Je fais signe que oui et il s'approche pour m'empoigner le bras.

Je baisse la tête et pendant qu'il me traîne vers je pense savoir où, je murmure «J'ai faim.». Il m'annonce sévèrement que j'aurais de la nourriture plus tard. Ensuite, il me jète au sol d'une pièce, semblable à celle de hier.

Je relève lentement ma tête pour constater qu'il s'y trouve plusieurs personnes ici, dont un garde et un homme, plus jeune que celui de hier. Il n'y a cependant pas d'autre fille.

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Allow~ vous avez attendu longtemps vu mon retard, j'en suis désoler mais comme d'habitude, je n'ai pas de raison, alors voilà. J'espère que vous vous portez bien en tout cas. Puis, j'aimerais juste vous informez que j'ai d'autre livres en réserves et il ce peut qu'un d'eux ce fasse poster mais je ne garantie rien alors n'ayez pas trop d'espoir.

Kiss~

TorturéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant