Tiraillée.

16.

Ma mère voulait absolument que Ken reste manger ce soir, elle dit qu'il fallait bien ce nourrisse pour la route qu'il devait faire après. Je suis rester silencieuse tous le repas sans réellement prêter attention au grec. J'était surtout dans mes pensées, j'avait vraiment fait mon deuil sur lui et sur ma vie parisienne. Sa présence ne me fait rien du tous, aucune émotion.

Quand le repas est terminé ma mère suivis de mon père le raccompagne à la porte, je lui adresse seulement un sourire ironique. J'étais plutôt soulagée que le rappeur sois partit. Ma mère ne s'était pas gênée pour me rappeler à l'ordre. Je débarrasse la table comme si de rien était, c'était même comme si c'était le voisin qui était venu dîner. Après avoir finis de débarrasser je monte dans ma chambre et allume ma télévision, et saisis mon téléphone.

De Nekfeu :
Je suis encore dehors.

J'avait renommer sont numéro, mais j'aurais préféré le supprimé mais c'est le seul que j'ai pas réussis. Je me penche face à ma fenêtre qui donne sur la cours, il était assis sur une marche voisine à tirer sur sa clope.

J'ai un moment de réflexion avant de descendre.

- Tu va où ? Me demande mon père.

Je ne répond pas et sort de la maison familiale.
Je m'avance vers Ken qui ne bouge pas, putain pourquoi il rend les choses encore plus difficile qu'elle le sont.

- S'il te plaît, dis je. Comprend moi c'est pas une vie faites pour moi sa été trop vite j'aurais jamais dût quitter ma vie d'ici même si je vivait l'enfer, reprenais je. Je t'en veut terriblement, autant que je m'en veuille. Mais ont est pas fait pour ce connaître encore moins pour être ensemble Ken.

Il ne répond rien, sont silence en disait long.

- J'ai tirer un trait sur sa, sur vous. Je suis toujours autant reconnaissante pour ce que vous avez fait pour moi, mais j'ai pas ma place dans votre vie, soufflais-je en laissant apparaître une larme. Je suis désolé.

Ken ce lève.

- Bien sur que si tu a ta place, crache t'il. Juste ont a merder et ont le sait, mais je pensait que ont étaient tous bien plus fort que sa. Alice, ont est des gens comme des autres, rien ne nous différencie.

Je souffle.

- Ma décision est prise Ken c'est peut-être lâche et j'en doute pas, mais je suis pas faite pour cela.
- Et si moi je te dit que tu l'es, que je t'aime, tu pense toujours la même chose ?

D'accord, là j'était perturbé. Il avait en une phrase retourner la situation et même à me faire douter. Je doutais de ma décision, et si c'était la mauvaises ? Et si j'avait besoin d'eux dans ma vie ?
Je remarque que les cheveux de Ken ce bataille à cause du léger vent, sa casquette cachait ces yeux mais quand il remarque que je le fixe il la relève.

- Alice, dis il. Je m'en veut de t'avoir souffrir j'ai été un putain d'égoïste. Ont as tous été des putain d'égoïste, ont aurait pas dut te laisser tomber. Pardonne nous.

Et là à ce moment là les garçons apparaissent. J'étais bouche bée. Choqué, ils ont tous fait le déplacement. Peut être que je compte réellement pour eux ?

- Ont est désolé gamine, me lance Deen.
- Ont s'en veut princesse, pardonne nous. S'approche Sneazzy avec un cadeau.

Je répondait rien, j'avait pas les mots. Ou je savait pas quoi répondre.

- Tiens c'est pour toi.

Sneazzy me tend un cadeau, je l'ouvre gênée par cette élan de générosité de leurs part. C'était un grand cadre avec tous le monde et moi même, je me souviens de cette photo c'était lors de notre première soirée.

Flashback.

Alors que la plupart des autres invités étaient partis depuis une heure, nous étions tous encore là, Ken voulait rentrer mais je tenais quand même à saluer le reste de l'équipe.

- Venez ont fait une photo tous ensemble.

Sneazzy ce ramène avec un appareil photo qu'il pose sur le meuble de table en mettant le retardateur, nous nous installions tous dans le canapé. Doum's ne s'empêche pas de faire des blagues pour faire sourire les autres.

- Mais attend les gens il manque Burbigo !

Tous le monde se décale et part à la recherche du marseillais. Framal complètement bourré chantonnais même sont prénom avec deux trois petites rimes, ce qui me fit éclater de rire. Quand Deen apparut, Alpha le prend directement vers lui pour faire la photo.

Au bois de trois clichés c'était la bonne, j'était installée entre Ken et Mekra qui ne s'empêchait pas de me lancer des moqueries dut a l'alcool.

Doum's se précipite vers l'appareil photo.

- Comment ont est trop frais ! Ont ressemblerais presque à des plantations ! I like it.

Tous le monde éclate de rire sauf Adèle. La jeune femme était clairement dépité de sont homme. Tous le monde la visionne, au bout de quelques minutes Ken me chuchote qu'il faut rentrer.

- Bon ont va y aller nous. Dit le grec à l'assemblée.
- Nous aussi ont va y aller, dis Sneazzy à un coussin.

Éclat de rire générale.

- Mais gros tu parle à un coussin là.
- Ah bon pourtant je croyais que c'était Selena moi, ce penche le marocain face au coussin blanc.

Désespérant était le mot.

Fin du flashback.

Un léger sourire s'affiche sur mon visage.

- Merci les garçons, vous étiez pas obliger.
- Ont voulaient ce faire pardonner petiote, acquiesce Doum's.

Prise de remords je m'avance vers eux pour les enlacés. Il m'avaient terriblement manquer au final j'avait vraiment besoin d'eux dans ma vie. Seul Ken était rester en retrait.

- Tu viens pas ? Dis je.

Il s'approche de moi, oubliant même la présence des garçons. Et pose délicatement ces lèvres contre les miennes. Nous sommes hués par les garçons, qui en clappaient même dans leurs mains heureux de cette situation.

Moi j'était réellement gênée.

- Je t'aime, me chuchote t'il.

•••

Finalement je le poste maintenant, mais je compte en poster un autre cet après-midi tous de même.

Merci encore de suivre la fiction !

Dans le prochain chapitre des révélations et des surprises vous attendent !