4. 🌑

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« J'veux atteindre le sommet mais arrivé en haut j'veux continué à monté »

{ Partie 4 }

J'étais toujours devant cette porte quand quelqu'un l'ouvre violemment.

Je sursaute légèrement.

Je relève la tête puis vois le gars ! J'étais au bon étage et à la bonne porte.

Il me regardait droit dans les yeux en fronçant les sourcils, vu son regard ça se voit déjà que c'est un nerveux.

Il m'a fusillé du regard pendant plusieurs secondes qui m'ont parut extrêmement longues.

C'est à ce moment qu'un sentiment de regret est monté en moi. Je regrettais de l'avoir suivit jusqu'à chez lui. C'était une très mauvaise idée et je le savais.

-Le gars : Tu fais quoi ici ?

-Moi : Je suis venu voir ma tante elle vient d'aménager ici et je savais qu'elle porte c'était.

Me demandez pas pourquoi j'ai dis ça moi même je le sais pas, c'est sortit tout seul.
C'était pas du tout crédible comme excuse.

-Le gars : Ah ouais ?

-Moi : Oui.

-Le gars : T'es sûre de toi ?

-Moi : Oui.

-Le gars : Hm.

Il ferme la porte de son appartement puis se dirige vers l'ascenseur, une fois dos à moi il s'est arrêté pendant quelques secondes et est resté silencieux.

Puis il s'est retourné d'un coup vers moi. Il s'est approché violemment de moi puis m'a plaqué contre le mur.

-Le gars : Je répète ! Tu faisais quoi devant ma porte ?

-Moi : J'viens voir ma tante qui vient d'emménager mais je savais pas quelle porte c'était j't'ai dis !

-Le gars : Tu continues de mentir en plus !

Il m'a envoyé une énorme claque. Ça m'a énervé, même mon propre père m'a jamais je dis bien jamais levé la main sur moi.

Je le pousse violemment puis dis :

-Moi : Mais t'es malade ou quoi ? Tu m'frappe pas moi !

Il me regarde choqué puis fronce les sourcils.

-Le gars : Tu viens de faire quoi ?

Je me contente de le fusillé du regard.

-Le gars : Tu viens de faire quoi ?!

Je reste silencieuse encore une fois ce qui l'a encore plus énervé. Il m'a attrapé par ma doudoune puis m'a plaqué contre le mur encore une fois.

Il me tenait par le cou donc je pouvais vraiment pas m'échapper. J'aurai jamais dû le suivre.

Il me fixait droit dans les yeux, son regard était rempli de haine.
Il lève sa veste puis il a sortit une arme de sa poche !

« À trop jouer avec le feu on finit par se brûler »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant