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chapitre 4.

LANA.

Elle l’entendit enlever ses chaussures, elle se demandait pourquoi elle lui a demandé ça. Elle ne saivait pas, elle en ressentait le besoin. Elle sentit le lit s’affaisser et la lavande rempli ses poumons. Elle se sentit bien, fatiguée mais bien. Elle l’entendit respirer. Elle osa le regarder, il a les yeux fermés. “Merci”, chuchote-t-elle. Et elle ne pu s’empêcher de le regarder. Jusqu’à ce qu’elle même s’endorme devant l’oeuvre d’art qu’il était à lui-même.

Quand elle se réveilla, elle était dans ses bras. Il la tenait fermement, son bras entourant sa taille et sa respiration s’écrasant dans son cou. Elle ne voulait plus jamais quitter cet endroit, elle voulait que le temps s’arrête. Elle posa sa main sur la sienne et enroula ses doigts avec les siens. Il bougea, s’accrocha à elle comme un petit garçon le ferait à sa mère. Il grogna quand elle se tournq pour se mettre sur le dos, mais n’ouvrit pas les yeux.

Il posa sa tête sur son ventre, comme si ce qu’il s’était passé tout à l’heure n’avait jamais eu lieu. Comme s'ils se connaissaient depuis toujours et que la barrière de la gêne avait été franchie depuis un certain temps. Elle ne dit rien, les yeux toujours grands ouverts. Il enroula son bras autour d’elle, pour pas qu’elle ne parte loin de lui.

Elle passa ses mains dans ces cheveux. Elle se sentait vraiment bien, il resserra sa prise autour d’elle. Elle se sentait bien et ô combien elle regrettait de s’être tailladée les bras. Il lèva la tête vers elle. Ils se regardaient, se souriaient. Il se lèva et s’étira en tirant les rideaux pour découvrir que le soleil s’est couché. Il éclata de rire et elle sourit. La chambre sentait la lavande. Elle pourrait respirer cette odeur toute la journée. Tout sa vie même.

“Tu as faim?” Il demanda en s’asseyant à ses côtés. Elle hocha la tête. “Bouge pas je vais commander des pizzas.” Il lui embrassa le front, elle rougit et il sortit de la chambre avec son téléphone. Elle respira son pull, il sentait lui. Elle rougit. Ses draps, son pull, elle-même, sa chambre, tout autour d’elle sentait la lavande.

Et, ô combien elle voulait rester ici tout sa vie.

BON J'AI FINIS D'ÉCRIRE CETTE FANFICTION DU COUP IL Y AURA DES CHAPITRES PLUS SOUVENT. JE VOUS AIME.

bobby 🧡

𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐮𝐦 • 𝐫𝐞𝐞𝐜𝐞 𝐛𝐢𝐛𝐛𝐲 [terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant