Ô toi, Muse fatale,
Quelle joie de voir tes cheveux qui s'étale.
Au réveil, ta beauté est telle,
Qu'une douleur m'atteint presque à l'occipital.Oh oui, Muse déchue,
Te voir avec quelqu'un d'autre me tue.
Cependant, je te laisse faire :
Vaques à tes libertés abstenues.Chère Muse de mon cœur,
Ta présence est un bonheur,
Tu sembles intemporelle.Chère Muse de ma vie,
Reste, je t'en pris,
Ne sois plus libre comme l'air.(07/04/18)
VOUS LISEZ
Stargazing [RECUEIL #2]
PoetryMon 2nd recueil de poèmes. Je posterai de manière irrégulière, mais qu'importe? Mes mots ne toucheront sûrement personne, sauf les âmes en quête d'une vision différente... (Couverture réalisée par Fanny)