Protector

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"- Mademoiselle Hansen ? Quest-ce que vous faites là ? - demandais-je avant de trouver la réponse moi-même- Oubliez, je sais pourquoi. -dis-je en me redressant difficilement-

- Attends, je vais taider. -me dit ma professeure en maidant à massoir avant de sassoir à côté de moi-

- Merci. -dis-je en souriant-

- De rien, tu es là depuis quand ? -me demande-t-elle-

- Midi et quart pourquoi ?

- Parce quil est quatre heures et demie, dis-moi que tas mangé au moins. -ajoute-t-elle inquiète-

- Non, je suis irrécupérable de ce côté-là, ce nest pas la première fois. -dis-je neutre, elle pousse un soupire et se lève-

- Viens avec moi. -me dit-elle en me tendant la main-

- Daccord. -répondis-je en prenant sa main-

Nous descendons des gradins et rejoignons sa voiture à laquelle est accrochée la remorque pour la remorque pour sa moto. Elle ouvre la porte arrière et cherche dans son sac. Mademoiselle Hansen sort des barres de céréales et me les donnes. Je mange les deux barres de céréales tranquillement pendant que Dinah-Jane fait des tours de circuit. Elle sarrête au bout dune heure pour shydrater.

"- Dis-moi, ça va mieux tes côtes ? -me demande-t-elle encore inquiète de ce quelle a vu-

- Je ne sais pas, je suppose oui. -répondis-je pour ne pas linquiéter davantage-

En vérité, cest une vraie catastrophe, dautres plaies ont rejoint celle déjà présente, ainsi que des hématomes similaires à ceux de ma professeure.

- Ne me mens pas tu veux, que tu ne veuille pas me dire ce quil test arrivé est une chose, que tu mempêches de prendre soin de toi et de taider en est une autre. -me dit Dinah-Jane, blessée que je lui mente- Et tu peux me tutoyer quand on est ensemble, juste toutes les deux, et appelles moi Dinah.

- Daccord, je ne suis pas prête à te dire ce quil sest passé, mais je veux bien que tu maides, que tu vois ce que tu peux faire pour mes côtes. Je veux bien te montrer, mais pas ici si tu veux bien.

- Bien sûr, aller viens on y va. -dit-elle inquiète, mais soulagée que je me confie à elle-

Je suis vraiment heureuse quelle sinquiète pour moi, ça me soulage de savoir quelle est là, je me sens en sécurité avec elle. Nous montons dans sa voiture, après quelle ait chargé sa moto et rangé ses affaires, et allons à ce que je suppose être sa maison, dans un vignoble, un peu à lécart de lagitation de la ville. Elle ouvre la porte et minvite à entrer. Nous allons dans le salon et nous asseyons sur le canapé où se trouve une couverture.

"- Cest le fameux tapis maléfique ? -dis-je moqueuse-

- Lui-même. -dit-elle en riant-

Chapitre pas très long, et un peu tard j'avoue, j'ai pas trop le temps en ce moment donc je le fais dès que j'ai cinq minutes mais c'est pas souvent. Voilà j'espère tout de même que cela vous a plu à plus dans le bus (non Anaïck ta gueule c'est nul comme blague).

Polynesian loverOù les histoires vivent. Découvrez maintenant