Elena découvre son nouveau travail et par la même occasion, son nouveau patron. Lui est jeune et beau mais aussi l'homme le plus riche de New York. Il va naître entre eux une attraction qui va les pousser à ne plus pouvoir ce passer l'un de l'autre...
Je rentre dans la Carter Corp. quand je reçois un appel de Carter. Je décroche : " Dans mon bureau et vite!". Je n'ai même pas le temps de répondre qu'il a déjà raccroché. Mais qu'est-ce qu'il veut ? Je n'ai rien fait de mal. Pourquoi est-il énervé contre moi ? Dan aurait appelé Carter ? Je prends l'ascenseur avec angoisse. Une fois au 72éme étage, je file directement dans le bureau de mon patron. Je frappe et il me répond d'entrer et de m'asseoir. Je ne perçois aucune émotion dans son regard. Il prit la parole : "Pouvez-vous m'expliquer quel est votre problème ?
- Pardon ?
- Dan vient m'appeler en disant que vous n'avez pas arrêtée de lui faire des avances pendant le rendez-vous. Vous pensez que c'est ce que je recherche chez mon assistante ? Une fille qui fait des avances aux clients pour réussir ? Vous avez si peu d'estime en vous ? Mon entreprise ne fait pas dans la prostitution ! Pour qui vous vous prenez ? En agissant comme ça, vous souilliez le nom de MON entreprise !
- Je ne comprends pas, car c'est lui qui m'a fait des avances. Il m'a proposé de baisser le prix de son entreprise si je couchais avec lui. Donc, c'est vous qui vous trompez à mon sujet. Car jamais et je dis bien JAMAIS, je ne ferais quelque chose du genre. Je ne couche pas pour pouvoir m'élever professionnellement. C'est surtout qu'il n'a pas supporté que je le remette en place à cause de ses gestes déplacés. Si vous devez avoir des comptes à rendre avec quelqu'un, c'est avec lui et pas avec moi.
- QUOI ? Il vous a touchés ?
- Pas dans le sens ou vous l'entendez. Il m'a caressé la cuisse. C'est à ce moment-là que je l'ai remis en place.
- Bon ! Je ne sais pas qui dit la vérité entre vous deux. Et Dan est un ami, donc je sais qu'il a tendance à être tactile et à s'énerver vite dès qu'on lui refuse quelque chose. Si quelqu'un m'appelle pour un problème similaire vous concernant, je ne cherche pas à savoir le pourquoi du comment et je vous vire directement. Donc, montrez-moi que j'ai raison de vous faire confiance.
- Je ne vous décevrai pas.
- Avez-vous réussi à avoir les informations que je vous demandai ?
- Oui.
- Très bien. Allez rédiger tout cela et ramenez-moi le dossier."
Je me lève et quitta la pièce. Mais quel enfoiré ce Dan ! J'en reviens pas. J'espère que je n'aurai plus à le voir. J'entre dans mon bureau et commence à écrire le dossier. Il est midi, je vais avoir du retard pour manger avec Lisa et je n'ai pas son numéro. J'espère qu'elle va m'attendre. J'imprime le dossier, prends mes affaires et je file dans le bureau de Carter. Je toque, mais personne ne répond, je tends ma main pour ouvrir la porte et au même moment je sens une présence derrière moi : " Vous me cherchez, Miss Petrova ?". Je sursaute et me retourne. "Excusez-moi, Monsieur Carter. Je venais vous remettre le dossier de Walles Technologie.". Je tendis le dossier et il le prit. Ses yeux se posèrent sur mon sac et il arqua son sourcil. "Vous êtes pressé ?
- Un peu oui.
- Dommage, j'allais vous proposer de déjeuner avec moi.
- Une prochaine fois alors.
- Je n'y manquerai pas.
- Je vous pris de bien vouloir m'excuser, mais je suis attendu.
- Très bien. Bon appétit Miss Petrova.
- Merci, à vous aussi. Monsieur Carter."
Je partis rejoindre Lisa dans le hall et son fameux collègue. Il est brun avec des yeux marron. Un peu le style bad boy, mais qui donne envie de passer du côté obscur. Lisa dit : "Tu en as mis du temps ?
- Désolé, je voulais te prévenir, mais je n'ai pas ton numéro.
- Oh ! Oui, j'aurais dû penser à te le filer. Rappelle-moi de te le donner au restaurant. Je te présente mon collègue Matt. Enfin, c'est aussi ton collègue. Je me retourne vers Matt.
- Salut, je suis Elena.
- Salut, du coup, je suis Matt. Il me fait un clin d'œil.
- (Lisa) On va manger ? Je meurs de faim!"
Nous partons dans un restaurant italien. Felippe. Nous nous installons à une table et on choisit nos plats. Bien sûr, il y avait une salade italienne, mais si je ne fais que manger de la salade, je risque de finir taillé comme un bout de bois ! Je pris un plat de patte, jambon cru et mozzarella. Un délice. Le repas se déroula sous une masse de question. Comme je m'y attendais, on me demanda qui étaient mes parents. Du coup, je déformai un peu la réalité. Je dis que je ne connaissais très peu mon père, que je l'avais vu que de rare fois mais qu'il devait être bien placé car il donnait beaucoup d'argent à ma mère pour m'élever. La seule chose de vrai que je dis est que ma mère est une chanteuse anglaise et qu'elle est occupée par sa carrière. Et quand j'étais en France, j'avais une nourrice. Je pense qu'on peut parler de vérité améliorée pour ma propre sécurité. En tout cas, Matt est vraiment sympa. En revenant, Lisa me passe son numéro. Une fois arrivait dans mon bureau, je vois une pile de dossiers déposés avec une note au sommet :
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Bon ça devrait me tenir jusqu'à la fin de la journée.
