Mon combat, ma vengeance

Prologue

Bonjour je m'appelle Tessa COOPER j'ai 17 ans et je suis en terminal. J'ai les cheveux noir avec des yeux vert clair.
Je me réveille à cause du soleil qui illumine toute ma chambre, je plisse les yeux pour mieux m'habitué à la lumière. Au bout de cinq minute je me décide à me lever pour aller dans ma salle de bain et prendre une douche, une fois sortit j'enroule une serviette autour de mon buste et marche jusqu'à mon dressing. J'opte donc pour une robe blanc cassé beige avec une fine ceinture marron puis j'accompagne le tout avec des escarpins Guess marron et un sac de la même couleur ainsi que mes lunettes de soleil de chez Dior. En m' habillant je vais vers ma coiffeuse et cherche une bague qui aille avec ma tenue.
Une fois habillé je descends en bas puis je prends une pomme avec un mini paquet de céréales que je mangerai pendant le trajet, je fais un bisou à mon frère et à mes parents et je sors de chez moi, alors que je marche j'entend la porte s'ouvrire :

- Chérie tu a oubliés tes clé.
- Oh merci Maman, je ne sais pas comment j'aurai fait ce soir sinon. Je lui fait un bisous et part.

Je la salue de la main et puis court à mon arrêt de bus car je suis en retard, contrairement à ce que tout le monde pense mes parents sont mort et ducoup on m'a adopté mais je les considère comme mes vrais parents car mes parents biologiques sont mort quand j'avais 2 ans.
Je monte dans le bus, croque dans ma pomme et mange mon paquet de céréale. Je suis arrivé je descend et vais à mon casier, Je prend les cours qu'il me faut et vais à mon premier cours de la journée, je marchais mais je me sentais suivi donc je regarde derrière moi mais je ne vois rien je m'apprêtait à me retourner mais à peine ai-je eu le temp de tourner la tête que je fonce dans quelqu'un:

-tu peux pas faire atten....

Mais je m'arrêta de parler quand je vit la fille qui m'avait bousculée en train de pleurer et je pense que ce n'est pas à cause de ce qu'il vient de ce passer alors je lui dit:

- Ça va je t'ai pas fait mal

Lui demandai-je inquiète, elle me bouscule l'épaule et reprend sa route.
Bizzard !