Haunted[v.f]

{ prologue }

Vous ne devriez pas lire ceci si vous êtes trop sensible à propos du sang et de la violence, parce que ce prologue est exactement cela, il y aura beaucoup de violence. Donc si vous ne pouvez pas supporter tout ça, je vous conseille fortement de ne PAS lire ceci. Et s'il vous plait, notez que c'est SEULEMENT une fiction.

**je ne suis pas responsable de ce que vous lisez **

19 juin 1924

La noirceur était tombée sur un petit village à quelques kilomètres de Londres, toutes les portes étaient barrées et toutes les fenêtres étaient sombres. La seule lumière venait des lampadaires qui illuminait les rues vides, mais sèches, de la pluie d'hier. Dans une des maisons dormait la famille Styles. Le père qui travaillait dans une usine en dehors du village, la mère qui travaillait dans un magasin local et leur fils de 20 ans qui aidait son père à l'usine dans ses temps libres. Ils étaient un famille moyenne, ils n'étaient ni pauvre, ni riche mais ils étaient heureux. Les gens du village sa souciaient beaucoup des Styles, toute la famille avait de grands cœurs. Donc, ce qui c'était produit cette nuit là, avait créé un horrible choque pour les gens du petit village près de Londres.

Un son étrange bruit venant du rez-de-chaussé réveilla le fils de l'heureux couple. En premier, il crut que quelque chose était tombé, mais quand il l'entendît encore, il commença a ce demander quelle était la cause de ce bruit. Ça ne pouvait être ses parents, non? Il se retourna et regarda par la fenêtre. Il fessait encore sombre dehors donc ce ne pouvait être ses parents. Moitié curieux et moitié effrayé, le fils de la famille Styles sortit de son lit et quitta doucement sa chambre. ses pieds l'amenèrent au rez-de-chaussé, alors qu'il entendait des voix. Les voix étaient celles de deux hommes et elles semblaient provenir du salon. Le garçon qui s'était assis sur la dernière marche arrêta de bouger pendant un moment, se demandant s'il devait aller voir ou non. mais il n'eu pas le temps de décider avant d'entendre des bruits de pas venant dans sa direction. En paniquant, il traversa le corridor et se cacha dans un garde-robe remplit de différents manteaux et ferma la porte derrière lui.

"As-tu entendu ça Éric ?" Dit l'un des hommes, il était proche. "Je crois que quelqu'un est ici"

"Bien, dans ce cas, trouve cette personne" Dit l'autre homme, sa voix était plus sombre, remplie de plus de colère.

Le cœur du garçon se mît a battre plus rapidement. Le son du plancher craquant sous le pied de quelqu'un atteint les oreilles du fils, un des hommes était si proche qu'il croyait que l'homme entendait sa respiration. Le garçon se recula de la porte mais dans le processus, quelque chose tomba et frappa le sol. Son cœur frappait si fort dans sa poitrine qu'il le croyait briser à travers sa chair et ses os.

"Oh,je crois-" L'homme, qui était maintenant devant la porte close, débuta. La porte s'ouvrit. "Je l'ai trouvé" L'homme avait un sourire cruel sur le visage et un fusil dans sa main. "Bien, bien,bien... Si ce n'est pas le beau petit garçon des Styles, Harry c'est sa ?"

"Vous devriez partir" Dit Harry. Il attrapa la main de l'homme qui tenait l'arme et le tira vers l'avant, utilisant son autre main, il frappa l'homme dans le visage. L'homme grogna et amena sa main libre a son nez.

"Tu es le fils d'une-" Dit-il et enlève sa main de l'emprise d'Harry, avant de l'attacher et de la frapper à la tête. "Éric, j'ai le garçon."

"Bien" Dit Éric en apparaissant derrière Cédric. "Pourquoi tu ne vas pas chercher ses parents, donc nous pourrions tous faire un conseil de famille." Éric souria et reçu le feu vert de Cédric qui quitta, laissant Éric avec le fils.

Harry se réveilla croyant de noyer. Ses vêtements étaient mouillés et sa peau était froide. Il voulait tousser mais un chiffon a été placé dans sa bouche le faisant grogner. Quand il eu clignée des yeux pour faire disparaître l'eau de ses larmes, ce qu'il vit lui donna envie de crier. Mais il ne pouvait pas. Devant lui, se tenait ses parents sur leurs genoux, un chiffon dans la bouche et plusieurs larmes coulant sur leurs joues.