WHEN I LOST YOU |RP/KS|

SIX

PDV KAROL

Aujourd'hui on a encore un concert en Allemagne. La tête sur mon oreiller,je sourie en me rappelant que je suis dans un hôtel. Je me bascule de l'autre côté du lit et m'étire en baillant. La dernière fois que j'étais dans un hôtel c'était avec Ruggero.

~~
Le sourire aux lèvres,j'ouvre les yeux. Mon sourire s'agrandit en sentant deux bras chaud entourer ma taille. Je grogne en me retournant vers mon italien. Il sourit mais il a toujours les deux yeux fermés. Je me met à rire doucement,son sourire s'agrandit aussitot.

-Je savais que tu ne dormais pas. Murmurais-je en souriant.

Ses yeux s'ouvre doucement me faisant rire à nouveau.

-C'est vrai. Tu m'as découvert. Dit-il souriant.

Mes mains entoure sa taille et le rapproche contre moi. Mes seins nues s'écrasent sur son torse chaud et nu aussi. Mes jambes s'enroulent avec les siennes. Je frotte doucement mes pied contre ses jambes. Le draps qui nous couvrait se trouve étonnement vite par terre. Je me retrouve sur son torse,la tête posée sur celui-ci. Mes mains s'insérent dans ses cheveux brun et je relève la tête pour l'obliger à me regarder dans les yeux. Toujours une mains dans ses cheveux l'autre descend lentement contre son ventre. Lentement très lentement,mon intimité glisse sur la sienne,il ouvre la bouche et ses pupilles se dilatent intensément. Je sens son coeur tambouriner contre mes seins,les faisant durcir violemment. Je me sens palpiter de partout. Toujours le même effets avec lui. Mes mouvements sont lents intenses et sensuelles,je me sens perdre pied rapidement. Ses yeux se ferment quand mon bassins se met à faire des mouvements circulaires. J'écarquilles subitement les yeux,je n'ai jamais essayé ça mais bon sang que c'est bon. Plusieurs gémissement franchissent mes lèvres. Ses yeux s'ouvrent et ses mains empoignent mes fesses pour me faire augmenter la vitesse. Nos regard encrer l'un dans l'autre augmente la température et l'excitation de nos corps. Je pose mes mains sur chaque côté de sa tête et m'arrête en sentant que en dessous de moi,c'est lui qui bouge. Mon regard suit les lignes de son visage en s'arrêtant sur ses lèvres. La tentation est forte,je pose mes lèvres sur les siennes. Sans que je m'y attende,il me bascule sur le lit, maintenant il se trouve sur moi. Pensant qu'il allait continuer,je laisse mes yeux fermés mais je les ouvrent en ne sentant plus rien. Il me regarde intensément dans les yeux avant de prendre la parole.

-Tourne-toi ! Ordonne-t-il d'une voix rauque.

Je fronce les sourcils et mon coeur bat plus fort. Il sait que j'adore lorsque il domine. Il finit par le faire lui même,me tirant un hoquet de surprise. Il me relève le bassin. La tête sur le matelas et les fesses en l'air,je m'acroche au draps en sentant le souffle chaud sur mon dos. D'un mouvement vif,il me pénètre.

-Ah ! Criais-je d'extase.

Là,je peux le sentir beaucoup mieux. C'est divin. J'ouvre la bouche contre le matelas et gémis à plein poumons,malgré ça,le matelas étouffe quelques gémissement. Je l'entends grogner derrière moi me faisant sourire. Ses coups reins deviennent passionel et intense. Je reserre mes doigts dans les draps et crie en sentant un violent orgasme s'abattre sur moi. Ruggero retombe sur mon dos,haletant. Encore une fois ce n'était que du sexe. Mais c'est toujours mieux que rien.
~~

Que du sexe. Aucun sentiment. Enfin pas de mon côté. J'étais et je suis toujours amoureuse de lui. Je suis consciente que ce n'était pas ce que je lui avait dit mais je ne veux pas qu'il se fasse encore des idées. Si il croit qu'il peut me récupèrer à cause de mes sentiments alors autant lui dire l'inverse pour qu'il me laisse enfin en paix. Avec mélancolie je me lève du lit pour me diriger vers la salle de bain. La première chose que je fais c'est brosser mes dents et après la routine. Toujours la routine.

***

-Que mas da ! Chantais-je en patinant lentement. -Le son plus fort.Dis-je à travers du micro. -Tal vez eres mi otra mitad. Chantais-je.

Je lève les pouces en l'air pour montrer que c'est mieux. L'assistant en chef me sourie et hoche la tête. En tournant ma tête je croise Fausto. Notre meilleur patineur. Je le prend dans mes bras avant de regarder dans la salle. Au loin un Ruggero triste.