WHEN I LOST YOU |RP/KS|

SEVEN

PDV KAROL

Cela fait quelques jours que Fausto,un danseur de la tournée,plutôt belle homme,et moi sommes rapprocher. Grâce à lui, j’ai l’impression de revivre, d’oublier ce qu’a fait Ruggero pour m’anéantir avec ce tweet. Bien sûr il me manque mais il m’a détruit et sa jamais je lui pardonnerai.

—Ka' on doit rentrer sur scène.Dit la voix de mon ami.

—J’arrive Fausto ! Lui répondis-je en souriant.

—Je t’attends là bas alors. Me lance-t-il en partant vers les escaliers accédant à la scène.

Je finis de me préparer et sort de la loge pour le rejoindre,seulement en cours de chemin, je croise  l’autre idiot d’italien. Son regard de pitié, il peut le garder j’en ai pas besoin surtout venant de lui. J'essaye de l'esquiver mais il me prend soudainement par le bras. Je me retourne violemment et mon visage se retrouve coller au sien. Je ferme les yeux en sentant son souffle chaud contre mes lèvres. Mon cerveau se déconnecte un laps de temps de moi corps. Je reprend vite mes esprits et le pousse loin de moi.

—Je ne veux plus que tu me touches,tu as compris. Chuchotais-je avec colère.

Il se rapproche subitement et frôle ses lèvres au miennes . Mes yeux se ferment,un doux parfum de désire et d'amertume s'installe en moi. Puis des souvenirs.

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Allonger sur Ruggero dans le lit d'hôtel, mon regard est plongé dans le sien. Mes lèvres frôlent les siennes. Je frotte mon nez contre le sien. Mes mains passent dans ses cheveux et tire légèrement le fesant grogner.

—Je veux que tu sois complètement à ma merci.Soufflais-je contre ses lèvres.

Ses pupilles se dilatent étonnement plus vite que d'habitude. Je sourie avant de déposer un baiser sur la commissure de ses lèvres, ma bouche descend le long de sa mâchoire jusqu'à son cou. Ma tête nicher au creux de son cou, je dépose une pluie de baisers tendres. Je peux sentir son coeur battre un rien plus fort contre ma poitrine. Je descend plus bas vers son ventre,je prend une fine peau entre mes dents et tire dessus. Au contact de ma langue sur sa peau,je le sens frissonner, m'arrachant un sourire. Je remonte la tête et replonge mon regard dans celui de l'italien. Ma main descend le long de son corps sans pour autant le toucher. Il écarquille les yeux en sentant ma main sur son érection. Alors que je commençais à le caresser de haut en bas,il me retourne brutalement m'arrachant un cris de suprise puis un rire. Je me retrouve sur le ventre. J'arrête complètement de rire en sentant la puissante main de Ruggero s'abattre sur ma fesse droite. Je lâche un cris étouffé. Je glisse ma lèvre inférieure sous mes dents en sentant une deuxième fessée. Je gémis entre le plaisir et la douleur . Nouvelle sensation. Sa main gauche glisse le long de mon dos jusqu'entre mes jambes. Ma respiration s'accélére. Sans que je m'y attende,ses mains se posent sur mes hanches et il me pénètre doucement.

—Mon dieu. Couinais-je de plaisir en sentant qu'il me remplie amplement.

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—Karol, tu dois monter sur scène dans vingt secondes ! Crie mon manager.

J'écarquilles les yeux et pousse Ruggero. Je me précipite vers l'entrée sur la scène. La musique retentit,je soupire avant de rentrer et chanter.

***

J'ai bien réfléchis et je crois que c'est le moment d'avoir une vrai conversation avec Ruggero. Je sais que normalement je ne devrais pas lui faire ce plaisir là mais j'ai besoin de savoir exactement toute la vérité. La première conversation qu'on a eu était incohérente. Malgré tout ça j'éprouve toujours le besoin d'être à ses côtés mais évidemment ça je ne le garde que pour moi au fin fond dans un coin de ma tête. Il est temps de comprendre ce qui c'est vraiment passer entre nous. Je soupire avant de m'avancer vers sa loge. Je m'arrête en attendant un gémissement féminin. Je fronce les sourcils avant d'ouvrir,sans permission, la porte de sa loge. Mon coeur rate violemment un battement et ma respiration se coupe. Sur une table se trouve Candelaria,la culotte baisser et Ruggero entre ses jambes. Leurs têtes se tournent en même temps mais je me focalise seulement sur lui. Il écarquille les yeux. Je fais demi-tour rapidement en courant jusqu'à ma loge. Une fois enfermé dans celle-ci je me regarde dans le miroir. Je respire profondément et ferme les yeux. Subitement,prise De haine et de colère,je me rue sur la coiffeuse et jette tout par terre,je m'arrête sur mon reflet dans le miroir. Je vois une larme couler tout doucement le long de ma joue et me reste sans cesse.

«J'étais seulement son jouer ».

Je me regarde une dernière fois avant que mon poigt s'abat sur le miroir, explosant en mille morceaux le miroir.

—Karol ouvre moi ! Crie la voix de Ruggero derrière la porte.