une âme, neuf corp

marmotte

Il y a toujours l'hibernation qui me dérange, mais, j'adore être une marmotte. Par contre je ne sais pas pourquoi j'en suis devenu une si tôt...vue les éboulement sur la coline, il y a eu un sacré tramblement de terre il y a quellques années de cela...des pierres de la grotte on du s'éfonder et me tuer pendant mon someil...c'est mieux ainsi, c'est le première vie que je perd s'en soufrir ou sans resentirnles douloureux et affole battement de mon coeur...si je compte bien, actuellement je vie ma 8ème vie...il ne m'en rete plus qu'une seule devant moi, si c'est vraiment l'histoir des 9 vie du chat que j'étais.

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Vivre sous terre,c'est un eu comme dans une grotte enfait, mais...en moin dangeureux. Ma tête...si vous saviez...je na sais pas si vous avez déjà vu la tête de quelqu'un qui vient de se fair opéré des dents de sagesses...bah voilà.

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Une douce nuir de printemps, lors de la pleine lune, j'enttendi un hululement venant de la forêt. J'ai du mal à dormir...pendnt cette fichu plein lune donc je sorti de mon trou pour me balader un peu. Soudain, je vis un souris passer juste a la frontière de la forêt...elle se fis aspirer dans le ciel par un geste graçieu et habil de la part d'une chouette.

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J'ai 10 ans et je suis tranquille au soleil quand, j'entendis un cri d'une autre marmotte, un cri strident, allertant du danger qui approche. Le réflèxe de tout les marmottes présentes sur l'herbe, fu de courrir au plus vite se réfugier sous terre. J'en fis de même, efraiyer et paniquer. C'est bien d'être loup, en fait, au mois ya pas beaucoup de prédateur alors que quand tu es marmotte, qu'est ce que tu peut faire...bah rien, et c'est problèmatique.

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Un jour, alors que je bonzais au soleil, j'entendis un mini éboulement, et vis, lors que je tourna la tête vers celui ci, un cheuvreil qui sautait de pierre en pierre. Ça doit être génial de pouvoir fair ça, avec une stabilité telle que même si le sol se dérobais sous nos pattes, on ne tombe pas et reste de bout, sur pied, a continuer notre course bravant le vide et le vent froid et fort nous glassant le corps...mais en même temps, quand on cour ça nous réchaufe...je ne sais pas.

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J'ai 11 ans et je bronze toujours au soleil...j'adors bronzer, sentir sur ma peau la chaleur du soleil. Un cri terrifiant résonna, agitant d'un coup la paisible montagne, un rapace survolait les herbes verdoyante, chechant a manger l'une d'entre nous...il me fixe, de ses yeux, ses petits yeux persent, terrifiant, angoisant et moi, je ne bouge pas, comme paralisé par ce regard foudroyant que le rapace a posé sur moi...je souhaite de tout coeur qu'il parte, qu'il s'en aille l'ignorant totalement mais...il ne fit rien, rien d'autre que me survoler, pour mieux m'attraper, pour mieux me glacer le sang, pour plus facillement me manger, me dévorer, me déguster...ne fair qu'une boucher de moi. Ça y est, c'est la fin, c'est encore la fin, c'est encore fini, c'est...