une âme, neuf corp

chevreuil

Guambader dans les montagnes, les poils dans le vent, à courrir, se lacher, s'amuser, être heureux et avoir le coeur plein de folie, c'est génail. C'est antrainant et ça met tellement de bonne humeure et donne à notre coeur plein d'adrénaline et de sensation forte...de joie, de bonheur.

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J'ai...243 ans et 4 ans. J'adore toujours autent bronzer au calme après un bon repasbien gras peuplé d'herbe verte et appétissante.

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Une douce nuit de printemps, lors de la pleine lune,j'entendis un hululement ventant tout drois du fin fond de la forêt tinté d'une sombre lueur glauque. La pleine lune m'empèche encore de dormir, donc tout en voyant une souris se faire happé dans les aires, je me demande si se sont les souris qui me suivent ou si il y en a vraiment une qui vient de se faire manger dans mon jardin...mon jardin où se trouve Samy, et mais, ou Samuel vivra toujours à l'état de pierre paralisé, inerte et froide, froide comme un cadavre, un genti cadavre qui est plus que mon ami, plus que mon frère, que je considérais, que je considère et que je considèrerais toujours comme mon propre père, oui, un père bien veillant mais pas trop protecteur...un père parfait. Je l'aimais, je l'aime et je l'aimerais même après ma mort "vériable". Il me manque, me manque comme jamais personne ne m'a manquer durant mes vies...il me manque plus que "Parfum Ennivrent"...Il me manque plus que tout. Je serais même prêt à renoncer a cette dèrnière vie si je peux le rejoindre à jamais. Je sens une rivière, que dis-je, un torrant déchainer de larme nostalgique et mélancolique couler sur mon visage, mon visage de chevreuil. Un chevreuil triste et seul, triste et à la fois en colère, en colère contre l'injustice qui à fait que Samy n'a pas continuer son parcour avec moi, durant ma vie de vétérinair, je ne l'ai pas rencontré, mais ça ne m'étonne pas, il n'a jamais été du genre à aller chez le docteur ou à la pharmatie, il n'a jamais été du genre à prendre des médicament afin d'aténuer certaine douleur, non, rien de cela, lui, il, il, il laissai la douleur s'en aller d'elle même. Mes sanglos résonairent furtivement dans le pesant silence qui régnais dans la nuit, la lune qui me tient companie, me regarde de haut et me nargue d'un air moqueur voulant dire "Tu n'arrive pas a dormir ? Pauvre petit, pauvre chou. Tu as le sommeil si léger, si fragil, que c'est ammusant de le brisé, de le déranger, de l'empaicher de t'emprisonner, de te lancer dans les bras de Morphée". Je m'en fiche d'être seul, je m'en fou royalement, mais si Samy avait été là se serait qand même tellement mieux...tellement plus joyeux. Tellement tellement parfait.

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Défois, j'ai peur car je vois des chasseurs avec le même fusil que celui du berge cruel, qui malgé sa cruauté ne désirait que protéger sa bête affaiblie...en fait, c'est moi qui suis cruel, ne pensant qu'a moi, qu'a ma petite personne...Samy disai tout le temps que si on se remarquait un défaut, alors, on peut changer et transformer ce défaut en force.
En fait, chaque animaux ont leur propre prédateur et le sont à la fois eux même. Domage que les humains ont tout détruit, on tout casser, on tout chambouler, ne pensant pas à tout se qui les entourent, la faune, la flor, la planet, le mond, l'univers. Le plus problèmatique c'est qu'il ne s'en rendent pas compte et continuent sans penser aux autre. La plus pare des humains me dégoutent, il y en a que très peu qui sont des gens bien, des gens comme Samy. Ils sont pratiquement tous con, stupide, inintelligent...c'est triste, c'est dômage...c'est du gachis.

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C'est l'hivers, j'ai maintenant 6 ans, et j'angoisse un peut car la mort s'approche de plus en plus de moi. J'ai peur, j'usqu'à maintenant je renaissais,mais là, qui a-t-il après la mort ? Qu'est ce qui va marriver ? Vais-je revivre encore et encore j'usqu'à la fin du monde ? Vais-je un jour pouvoire revoir le temple ? Pourias-je un jour réavoir un calin de Samy ? Tant de question sans répone me torure la cervelle, l'esprit et le coeur.

Je me baladais à la recherche de nourriture, toujours l'aire pensif et aperçoit au loin un, deux, trois chasseurs...partout où les chasseurs passe, un animale trépasse. Il faut que je m'en aille et vite (pan,pan,pan) trois coup de feux et c'est trop tard...je suis heureux d'avoir eu une aussi longue vie (245 ans), une très longue vie remplie de souvenir, de joie, de tristesse, de peur, de moment agréable...je vais pouvir avoir une réponse à tout mes question ? Je l'espère de tout coeur, de tout mon être, de toute mon âme. L'ironie, ma fête préférer était noël, là je pourais re"vivre" un noël avec des humain, mais cette fois, ma place sera dans l'aciette.
A

dieux.