c'était là,
sur ce trottoir.
que je l'ai rencontré.
cet homme aux doigts extrêmement chaud.
il riait,
ivre de joie il était.
je ne l'aimais pas.
il était bien trop niais,
lui et son tee-shirt rose.
il a vu ;que j'avais froid.
il avait déposé sa main sur la mienne,
arrêtant mon geste habituel.
tirer et recracher la fumée.je l'ai fixé,
je n'avais pas compris.
je le détestais.
oh oui,
à cause de ce geste.-moi c'est minho, tu sais, moi aussi j'ai froid. ça ne se voit pas au premier abord, mais je meurs de froid.
-jisung.
c'est à ces mots,
que j'ai compris.
que je ne devais pas le détester.
il était si compréhensif.-on avait juste froid.