Instincts De Prédateurs ||TOME II|| Terminée

Chapitre 15

#Point de vue de Klaus#

J'ai envoyé Scott me ramener Blair. De toute façon, ce soir est une nuit de pleine lune.

Je n'avais jamais ressentis ça. Quand j'ai transformé Blair, j'ai sentis une sorte de... de coup électrique traverser tout mon être. Mais... quelque chose me tracasse encore plus. Je n'ai pas peur de la réaction de Chuck, mais j'ai peur de celle de Serena. Cette fille obsède ma tête depuis un bon moment. Mon téléphone sonne.

- Moi : Allô ?

- Serena : Bonjour très cher Klaus. J'ai une très mauvaise nouvelle pour toi.

- Moi : Je t'écoute ma douce.

- Serena : Tu vois le petit chien que tu as envoyé hier soir ? Oui Scott c'est bien ça. Bah ta très gentille hybride Blair la tuer. Elle l'a éventré. Bonne journée !

Elle raccroche avant que je puisse prononcer un mot. Je n'arrives pas à y croire. Blair a tuer mon homme. Je ne vais jamais lui pardonner. Prochain objectif, tuer la deuxième hybride.

Je me dirige pour aller chercher mes fidèles compagnon de chasse. Stefan et Damon Salvatore. Ils sont les plus doués depuis qu'ils ont fait taire leurs émotions à cause d'une stupide gonzesse. Enfin bref. J'ai besoin d'eux.
Je prends la peine de les appeler avant de les déranger.

- Moi : Bonjour Damon. J'ai besoin des services de ton frère et des tiens. Rejoins-moi à la maison. Je vous réserve un magnifique carnage.

Je raccroche le téléphone toujours avec la même haine au fond de moi. Pourquoi ai-je eu la malheureuse intention de la transformer en hybride. J'aurais dû le savoir, trop idiote pour se contenir le soir d'une pleine lune.

Après quelques heures d'attente, Stefan et Damon se ramène enfin.

-Klaus : Vous avez faillit me faire attendre bande de branleurs.

-Damon : Ah cher Klaus, un peu de courtoisie je te prie. Stefan a mit exactement 1h30 dans la salle de bain. Une vrai gonzesse.

-Stefan : Dit celui qui se peigne les cheveux toujours dans le même sens sinon ça les abîmes. Damon tu es pire que moi.

-Damon : Assez parler frangin, tu va m'énerver.

- Moi : STOP ! On dirais des gamins abrutis. Je ne vous ai pas demander de venir ici pour vous entendre brailler. J'ai besoin de vous, car vous allez devoir tuer une hybride.

-Damon : Tu n'étais pas le seul à la base ?

- Moi : Si, mais j'ai eu la mauvaise idée de la transformer.

-Damon : Et après c'est moi l'abruti ?! J'espère que c'est une blague.

Stefan pouffe de rire.

J'attrape Damon par le cou et le regarde droit dans les yeux.

-Moi : Mon cher ami, ne me fâche surtout pas, car tu risque de le regretter. Je t'ai amené jusqu'ici pour tes services, pas pour ton humour à deux balles.

-Damon : Très bien. Il se défait de mon emprise, vexé. 

Je leur explique le plan, et nous voilà partis en chasse. 

-Moi : Rappelez-vous, cette fille est très belle mais aussi très manipulatrice. Et une autre chose, elle est très dangereuse. 

Nous arrivons devant la maison de Bart Bass. C'est la qu'il la tient cachée de nous, mais plus pour très longtemps. Damon s'approche doucement de la porte d'entrée. Un petit inconvénient vint se mettre en travers de mon chemin, un inconvénient auquel je n'avais pas pensé. Pour entrer dans la maison d'un humain, nous, les vampires devons être invités à entrer par le propriétaire. Nous devons donc attendre qu'ils sortent.

Nous sommes tapis dans l'ombre de la petit forêt qui borne la maison. Je la vois. Elle se déshabille dans la chambre de Chuck. Je constate que je ne suis pas le seul à profiter de la situation. Je donne un coup de pied dans les mollets de Stefan et de Damon pour qu'ils se ressaisissent. Ils me regardent comme deux imbéciles.

-Damon : Bah quoi µ, Une bombe se déshabille presque devant nous et on n'a même pas le droit d'en profiter ? Bah merde alors ! 

Soudain, j'entendis un craquement derrière mois. Quand je me retourne, Stefan et Damon on disparut, et Chuck se tient devant moi, un bras caché derrière son dos. 

-Moi : Te voilà enfin, cela fait des heures que je t'attends.

-Chuck : Que comptait tu faire ? Déjà que tu matte ma femme, espèce d'enflure...

-Moi : Je dois avouer que je n'aurais jamais dû la laisser à Scott, la baiser aurait été exquis ! 

Ses yeux s'emplissent d'une haine certaine. J'opte pour mon plus beau sourire narquois, de quoi lui donner des envies de meurtres. Seulement, à ce moment précis, il se jette sur moi, sortant de son dos un pieu en bois de chêne. Je le regarde, fulminant de colère.

-Moi : Mon pauvre enfant, je suis immortel, un origine et le tout premier hybride que la terre a connue. Tu ne crois tout de même pas que tu peux me tuer seulement avec un pieu en bois de chêne ! 

Sur ces mots, je prends la fuite.