La ville pourrait presque couvrir le son de mes songes. Des passants entrecoupent ma vie sans que je puisse les en empêcher. Le spectacle de la rue est beau. Loin de la nature insensible de la montagne estivale, il emplit mon esprit de cet essence de troupeau tant recherché. Chacun cherche le réconfort à l'endroit où il est le moins probable de le trouver. Derrière les immeubles, le bruit de la voie ferré est immobile et tant exotique. Une possibilité illimitée de lieux, de rue, de montagne, pourtant encré dans ce même sol, identique partout, sous le même soleil faiblard d'automne.
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Récit de cette inconnue
Historia Corta"Le printemps a marqué l'arrivée aussi brusque que soudaine de mes songes. Tandis que la nature renaissait de ses cendres, mon esprit s'embrumait entre réalité et rêve. La chaleur sur mes os annonçait le début de la plénitude de la montagne, derrièr...
