Chapitre XIII-Dieux contre Dragon

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Après l'enlèvement, les 3 filles avaient été conduite dans un bâtiment désaffecté dans la banlieue de Kyoto. Ce dernier était dans un sale état: rats, eau ruisselante, abondance de la végétation... En somme, un lieu parfait pour garder des otages.
Kayano, Kanzaki et Okuda étaient enchaînées au dernier étage.
Plusieurs loubards restaient devant eux tout en s'égosillant.

- « Kanzaki, Okuda vous allez bien ? »

- « Ça peut aller... », rétorqua Kanzaki.

- « Ou sommes nous ? », demanda Okuda.

- « Visiblement nous sommes dans un ancien bâtim... »

- « Et venez voir, les meufs ce sont réveillées ! »

- « Tient regardez celle là, désignant Kanzaki.
Je suis sur de l'avoir déjà vue quelque part. »

- « Regarde sur ton téléphone imbéciles, tu prend toujours en photo tes futurs proies. »

- « Ah oui c'est vrai... La voilà, c'était dans une salle d'arcade il y a quelque mois. Et bai dit donc la gonzesse a bien changer en si peut de temps. Je vois que tu es devenue une fille bien sage. »

Ce dernier montre la photo à toute l'assemblée, notamment aux trois filles.

« Tu sais, je connais bien les filles dans ton genre. En apparence, ce sont de gentilles personnes, de véritables modèles !
Mais au fond d'elles, elles n'attendent qu'une seule chose de ce lâcher, de mener une autre vie: une vie de débauche. Laisse moi être ton professeur particulier, je t'enseign... »

Soudainement une flèche transperça son épaule.

- « Aille, sa fait mal ! », hurla l'homme.

- « Je ne vous payes pas pour discuter avec les prisonniers à ce que je sache. Disparaissez tous et allez surveiller l'entrée du bâtiment. »

- « Oui Oya ! », répondirent en cœur les malfrats.

L'homme vêtu de blanc s'approcha des trois filles:

- « Je m'excuse pour le comportement de mes subordonnés. Ne vous inquiétez pas, il ne vous sera fait aucun mal. Vous serez raccompagnées à votre hôtel ce soir. Je vous le jure. »

Ce dernier s'inclina et alla s'allonger dans un canapé positionné au fond de la pièce.

Enfin seul, les trois filles purent discuter calmement. Kayano fut la première à intervenir :

- « Yukiko je ne vais pas te poser de question sur cette photo ni même sur ton passé. Nous vivons dans le présent et à ce titre nous ne devons pas êtres accablés par nos actions passés. »

- « Merci Kayano... »

- « Est-ce qu'on peut faire confiance à cette homme ?, demanda Okuda.

- « Je pense que oui, les autres l'on appelé Oya ce qui signifie que c'est un chef important. »

- « Tu à raison Kayano, il ne nous reste plus qu'à attendre le crépuscule. »

Au niveau de l'entrée du bâtiment:
- « Nous avons enfin retrouvé leur véhicule, c'est géniale. Karma, Nagisa dépêchons nous d'allers les secourir. »

Le petit bleue réagissant à ces paroles:
- « Ils sont beaucoup trop nombreux, nous avons aucune chance. »

- « Ne t'inquiète pas Nagisa, je vais tous me les faire. »

- « Nerfuu, attends un peu Karma. »

- « Quoi, vous nous avez retrouvés ? », demandèrent les trois jeunes gens.

- « Grace à ma vitesse, j'ai toujours gardé un œil sur vous tous. NerfuuuNerfuu. »

- « Maintenant que vous êtes là monsieur j'ai un plan qui pourrait fonctionner. »

- « Je suis tout ouï Nagisa. »

Quelque minute plus tard, on toquait à la porte du dernier étage.
L'Oya donna l'autorisation d'entrée.
La porte fut enfoncé, le corps d'un malfrat, visiblement évanoui, fut jeté au sol.
L'Oya se releva stupéfait par ce qu'il ce passait devant lui.
Les trois garçons était là.

Karma parla en premier:
- « Bonjour les filles, j'espère que je vous ai pas fait attendre !
Je suis pose que vous êtes le chef ? Vue votre réaction, vous ne vous attendiez visiblement pas à ce qu'on débarque ici. Et oui nous nous sommes occupés de tout vos collèges en bas, il ne reste plus que vous. »

- « Impossible, même si ils sont fort, ils ne peuvent pas faire ça. Je suis obliger de changer mes plans.
Je suis un Oya, vous n'avez aucune chance contre moi, Abandonnés et rentrés sagement chez vous ! »

- « Tu crois vraiment qu'on a fait tout ce chemin pour rien. Allez, j'espère que tu tiendra plus longtemps que les autres. »

Karma ce jeta contre l'individu masqué. Il enchaîna plusieurs coups rapides avec une extrême dextérité. A sa grande surprise, son adversaire les esquiva tous. Ce dernier en profita pour contre-attaquer et donna un violent coup à Karma.
Le pauvre troisième s'écroula au sol, il était clair que le combat été déséquilibré.

- « Abandonne jeune homme, il m'a suffit d'un seul coup pour te mettre à terre et encore je ne me suis pas servie de mon arc. »

- « J'admets, tousse, que tu es très forts. Cependant, un assassin ce doit de toujours avoir une deuxième arme. »

Soudainement un courant d'air s'engouffra dans toute la pièce.
L'homme masqué prit immédiatement son arc et décocha une flèche en direction du vide...

- « Touché professeur. »

- « Nerffu, vous visez très bien dit donc. Je me déplaçait à Mac20 et pourtant vous m'avez touché. Nerfuuu »

- « Enchanté Monsieur Koro ! »

- « Vous connaissez ce nom ? »

- « Je ne suis pas une simple personne, Monsieur Koro. Voyer par vous même. »

L'homme masqué mit en évidence son bras droit.

- « Ce symbole... Vous êtes l'Oyabun du clan Ojima. Le poulpe se mit en colère. Que faite vous la ? Pourquoi vous vous intéressez à mes élèves !? »

- « Ne vous inquiétez pas Monsieur Koro, je ne souhaite pas votre tête ni celle de vos élèves. Vous avez bien vue que même si j'ai réussi à vous toucher, mes flèches ne vous font rien.
Je ne cherche donc pas à vous combattre.
J'étais ici car je faisait passer un... un examen d'embauche à ces loubards. Je ne savais pas que ces enfants étaient vos élèves.
Encore une chose, vous connaissez très bien ce qu'implique ma fonction. Si je suis blessé ou tuer, les conséquences pourraient être terrible...»

- « NerfuNerfu, très bien. Je comprend parfaitement votre objectif. Mais qu'une chose soit claire: ne touchez plus jamais à mes élèves. Ou sinon... »

L'intéressé n'attend pas la fin de la phrase du poulpe:
- « Au revoir, j'espère que je vais vous revoir. »

L'homme masqué se jetta à travers la fenêtres laissant derrière lui une grenade fumigène.
En quelque seconde, le poulpe fit disparaître, grâce à ça vitesse, cette fumée.

- « Les garçons allez vite libérés les filles ! »

- « Bien sur monsieur. »

Le groupe après quelque banalité coutumière dans ce genre de situation ce dirigea vers la sortit.

Soudain Nagisa déclara:
- « Et mais j'y pense, on a oublié Taki ! »

Quelque minute plus tard, après une course effrénée dans les rues de Kyoto, le groupe retrouva Taki. Ce dernier était assis sur un banc. Juste à côté, 4 malfrats étaient attachés à un poteau.

- « Dit donc vous en avez mit un temps !
Au moins je me suis pas ennuyé. »

[AC]-Le RecaléOù les histoires vivent. Découvrez maintenant