Incontrôlable [tome 1] |terminé|

Chapitre 1

Trois jours plus tard...

J'emmène ma dernière valise dans la voiture. Les vacances sont enfin commencer et je crois qu'on avait tous de plus en plus hâte. Malgré que mes deux première semaines sois charger à cause d'un camp de boue, la compagnie de Milly est la seule chose qui compte. Si ma présence peu lui faire plaisir, alors la sienne me le fait aussi.

- Vous avez rien oublier? Crème solaire, maillot de bain, vêtement chaud, vêtement à salir, chapeau pour ne pas attraper de coup de soleil sur la tête ?

- Maman, dis-je en riant, nous ne sommes plus des enfants.

Elle me sourit et démarre la voiture. Pendant le trajet, moi et Milly passons la majeur partie à prendre des photos ou bien inventer des scénarios qui pourrait arriver pendant notre séjour.

- T'imagine si notre guide est une beauté! Si c'est le cas, je le drague direct. Dit-Milly en faisant un clin d'œil.

Je lui sourit doucement me rappelant ce qui m'ai arriver il y a deux ans. Non! Je ne dois pas me morfondre! Je dois mordre la vie à pleine dents!

- Je crois que nous sommes arrivés, les filles! Dit ma mère un peu nerveuse.

-oh ne tant fais pas ma petite maman chérie, nous serrons sage comme des images. Dis-je en lui faisant un câlin et en ricanant.

Elle me rend mon étreinte et nous souhaite un bon séjour. Apportant nos valises lourde comme 100 kilos de plomb, nous entrons dans le hall d'entrée. Des têtes de chevreuils empaillé décors les murs.

- Beurk! Qui est le responsable de cette affreuse décoration?! S'exclama Milly avec un ton de dégoût.

-puis-je vous aidez mesdemoiselles?

Nous nous retournons vers un vieille homme d'une cinquantaine d'année avec des cheveux grisonnants, des yeux plissés et la peau aussi pâle qu'un albinos. Je jète un coup d'œil à Milly.

- Oui, j'aimerais parlez à mon père. Le directeur de ce camp. Pouvez-vous nous emmener à son bureau?

-bien sur, suivez moi!

Il tourna les talons et s'engagea dans un couloir décoré de cadre. Sur ceux-ci, il y avait des personnes photographier traversant une marre de bouette. Amusant!

Arrivé a l'avant de la porte du bureau de monsieur Eaten, le vielle homme cogna puis attendis qu'on lui réponde.

- Votre adorable fille et son amie sont arrivés monsieur Eaten.

- Oh! Alors faites les entrez je vous prie.

Il nous ouvrit la porte avec un sourire accueillant. Je le lui rendis avant d'entrer dans le bureau du père de Milly. Il nous fit signe de nous assoir et nous servit un verre de limonade.

- Alors les filles, vous n'êtes pas trop nerveuse? Dit-il en souriant.

- Non moi je suis super excitée de commencer! Dit Milly en s'extasiant sur sa chaise.

Nous partons à rire puis après une gorgée de limonade son père me reposa la question.

- Non je ne suis pas nerveuse. En fait, j'ai été surprise d'avoir été invité mais je trouve que c'est une excellente idée de pouvoir sortir de chez moi.

- Super! Alors laissez-moi vous parlez du séjour dans de plus bref détail.

Je m'assois confortablement sur ma chaise et l'écoute attentivement. Son père a toujours été un homme d'affaire très poli et aimable. Aujourd'hui c'est encore le cas, mais je trouve qu'il a un petit quelque chose de plus. Un sourire radieux. Peut-être qu'il est heureux de montrer son exploit à sa fille?

- Donc pendant les deux semaines vous serez jumelés avec deux autres jeunes adultes de votre âge pour partager un chalet et ils vous aideront pour les préparatifs des parcours pour les groupes de 3 à 6 ans et les 8 à 12 ans.

Il prit une pause pour respirer et prendre une gorgée du liquide jaunâtre.

- Vous aurez deux jours de congé et se sera chaque dimanche. Vos journée seront charger de midi à 17h du lundi ou mercredi et de 8h à 14h  du jeudi au samedi. Le reste du temps, vous faite ce que vous voulez. Vous pouvez boire, fêtez, danser, mettre de la musique, mais à une seule condition. Que le lendemain matin, avant vos heure de travaille tout sois ramasser. Je ne dois pas voir un seul verre de boisson ou de sous-vêtements sur mon camp. Compris?

Je jeta un bref regard à Milly qui semblait satisfaite des règlements et hocha la tête. Nous quittons le bureau et allons prendre la clé de notre chalet.

- Tu ne trouve pas ça cool? Dit Milly en me regardant. De travailler ici et de voir les enfants s'amuser dans la boue?

- A vrai dire, j'aurais aimer me lancer dans la boue moi aussi! Dis-je en riant. Au moins, je les verrai s'amuser.

Elle me sourit et déverrouilla la porte de notre chalet. Il était de taille correct pour accueillir 4 personnes. Les teintes de gris, de neige et de blanc ressortais beaucoup sur les meubles, les murs et les décorations. A droite de l'entrée il y a le salon et à gauche la cuisine. En avant, il y a un escaliers qui mène au deuxième étage où il y a les quatre chambres. Au bout des escaliers il y a la salle de bain. Les deux chambre de droite sont pour moi et Milly et les deux autres sont inoccupée pour l'instant.

- Ici, ils se sont vraiment forcé pour la décoration. C'est juste magnifique! Dit Milly.

- Je suis tout à fait d'accord avec toi!

Nous montons à notre chambre et défaisons nos valises. Après nous avoir installer comme il le faut, Milly se proposa pour préparer le diner.

- Tu crois que nos colocataire vont arrivés bientôt? Demande Milly en brassant les pâtes.

- Je ne sais pas, peut-être qu'ils vont arrivés demain. Pourquoi?

Elle eut un petit sourire en coin. Elle mit un suspense à sa phrase et servit les assiettes.

- Bah je sais pas j'aurais envi de rencontrer quelqu'un...

J'eu un fou rire. Venant de Milly se n'était pas surprenant. Aussitôt que la chance se présentais elle se précipitais dessus.

- Si t'a peur de ce que je peux penser de ça à cause de l'été s'il y a deux ans, n'oublie pas que j'ai passer à autre chose. Dis-je en souriant. Allez si il est craquant tante ta chance.

Je lui fit un clin d'œil et nous sommes parties à rire. Quand nous avons revêtis nos pyjama et sauter dans notre lit, j'eu une petite pensée pour ce séjour qui s'annonçait pour moi. Est-ce que sa allait être comme je le pensais? Vais-je m'amuser ou m'ennuyer? C'est difficile de prévoir à l'avance ce que l'on va ressentir. J'espère de tout coeur, que mon cauchemars ne se réalisera pas.