Encore ta messagerie.
J'essaie de te joindre mais rien.
Mon téléphone ne quitte plus mon oreille, je tente encore et encore espérant que tu décroche mais rien je tombe toujours sur ta messagerie. tu dois sûrement soupirer en voyant mes appels, t'énerver en voyant mon prénom s'affiché sur ton écran puis raccrocher, j'ai pas la force de te laisser un message, je te veux de vive voix. je ne sais pas ce que tu fais, je ne sais pas ce qui est entrain de se passer. J'ai redouté ce moment quand j'ai commencé à tenir à toi. je me suis effrayée en pensant au fait qu'un jour tu pourrai me laisser, qu'un jour tu m'oublie, que tu te souvienne plus de mon nom. Je suis si mal, si fatiguée, j'ai froid malgré cette chaleur insoutenable.
S'il te plaît décroche, j'ai une seule et unique question a te poser.
S'il te plaît décroche, j'ai besoin de t'entendre me dire que tu vas bien.
les unes après les autres mes excuses se noient. Elles ne servent à rien m'a tu dis .
Mais dis moi qu'avons nous fait de tous ça; je ne te parle ni d'amour ni d'amitié, je te parle de nous, de toi et moi. Je suis effrayé, effrayée de savoir qu'a tout moment tu peux t'en aller, qu'a tout moment tu peux nous laisser derrière toi.
J'ai mal, mal de te voir t'éloigner, mais dis moi c'est donc ça s'approcher du Soleil?