Et je me suis transformé.
Il fallait que je devienne la métaphore exacte de ce qui me correspondait, pour ne pas qu'elle songe à me laisser tomber. Je l'avais demandé.
Aucune science ne pourrait l'expliquer. Maintenant je le savais, tout m'étais revenu, un peu trop tard. Je mourrai avec elle, voici ma destiné. Son amour m'avait métamorphosé en ce que j'étais pour elle : une rose. Car mon odeur l'attirait.
Elle pensait que les pétales représentaient chacune des qualités que j'avais et que la fleur en elle-même, était ma beauté. Pour elle, je me protégeais car je ne voulais en aucun cas qu'elle arrive à m'atteindre, je voulais qu'elle me laisse. C'était mes épines. À cet instant le mythe de Daphné et Apollon venait de se reproduire mais avec moi et elle, sauf que j'étais Daphné et qu'elle était Apollon.
En effet les mythes n'avaient jamais disparu et j'en suis la preuve vivante car je suis là, j'appelle au secours en quelque part autour de vous, mais vous ne me voyez pas, vous n'en prenez pas conscience. C'est absurde et je sais que vous ne viendrez jamais. Jamais me sauver.
Une femme me porte dans son sac, elle m'emmène partout où elle va et en fait, c'est elle qui écrit.
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Dommage mais c'est la vie
PoetryDorénavant, il passe son temps à se rappeler tous les moments inoubliables et observe comment va le monde parce qu'il sera à tout jamais emprisonné et c'est elle qui lui a fait ça. C'est elle qui l'a enfermé. Dommage, mais c'est la vie. Copyright ©...