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CHAPITRE 1

PDV HARRY STYLE

"Je pense que c'est la chaleur des rayons du soleil qui vont me manquer..

Vous savez ? ceux qui passent sous les rideaux et qui vous réveil doucement.

Ce sont ces réveils là qui vous transforme une journée, qui vous rends de bonne humeur, qui vous fonts sourire dès le matin

Mais ce n'est pas assez pour me retenir ici, non, je veux partir..

Je ne veux plus souffrir, stop, j'en ai marre de tout ça !"

Mes jambes sont à présent dans le vide à se balancer d'avant en arrière au rythme des batteries plus loin dans le parc.

Je suis assis à califourchon sur cette épaisse branche d'arbre à 10 mètre du sol et je n'ai pourtant pas le vertige.. Je pense que ça me fait du bien d'être proche de la mort.

Je bascula ma tête en arrière en respirant profondément pour la dernière fois l'air chaud de l'été tout en écoutant les bruits.. Les bruits du parc..

Des enfants qui jouent, des amis qui discutent, de la musique,  l'eau qui jaillit des fontaines , les oiseaux qui chantent, le vent qui fait grincer les branches et frotter les feuilles..

Bizarrement ça me détend.. Je suis plus serein de partir.

"il est temps que tu partes.."

Oui conscience, il est temps..

Je me redresse en étendant mes bras le long de mon corps pour atteindre le bout de la branche.

Mes pieds sont à quelques millimètres du vide, je tremble..

?- HO MON DIEU, NE BOUGEZ PAS ! NE BOUGEZ PAS ! J'ARRIVE ! APPELEZ LES SECOURS !

Je ferme les yeux tellement fort, écarte mes bras et.. on me tire en arrière.

PDV DE SARAH SALVATORE

Je marchais afin de rejoindre ma meilleure amie lorsque je le vis au bout de cette branche prêt à sauter..

Je sais pas pourquoi mais je suis montée dans cette arbre à une de c'est vitesse..

on aurait pus croire que ma vie en dépendait..

C'est là.. c'est là que je le vis de dos à se laissé tomber..

J'ai crié et pris ses bras pour le tirer en arrière.. il s'est écroulé sur le peu d'espace qu'il il y avait..

Ses yeux était fermés à s'en faire mal, comme ci il s'apprêtait à recevoir le choc de la chute..

Les larmes inondaient ses joues, ses mains étaient accrochées à mon tee-shirt, il pleurait si fort.. je pourrais jurer qu'il se retenait de pleurer depuis des années..

C'est à ce moment précis que je me suis promise de l'aider..