Et qu'on finit Nu comme des vers.

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Juste un vers ce n'est pas chaire

Je l'ai soulevée pour qu'elle soit par-Dessus moi

Je m'abandonne corps et âme car tu M'es chaire

Le silence ça bouge

Où est passé le sourire de la Terre ?

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Dans la courbe de tes yeux
Il est clair qu'on s'ombre
Tu me soul tu es partie avec mon âme

- Coup de foudre

Courant sait s'y prendre

Électricité connait les prises

Attends tu as un truc dans l'œil, là Juste au milieu

- Quoi ?

Du vide.

Le café ça met la face à l'endroit,

Combien de particules dans un de tes « je t'aime » ?

- Toutes celles de l'univers.

Peut-être que le vide ça vibre quand je tombe dedans

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_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ Je rebondis dans le présent on s'éclate_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ 

Discours volatile comme l'essence du soleil

Eau de vie distillée dans ses yeux

On se cosmos la vue

A longueur « d'à la nôtre »

Nos regards s'étoiles

Dans un ciel qui n'est pas le vôtre.

Je l'ai encore trop bu

On s'est confit dans le ciel

Assis dans rien

Si près de tout

Un verre pour caresser ta main

L'infini dans tes genoux

Pour parler tout à fait français,

Quand est-ce qu'on se branle,

Mon amour ?

Atroce joie. Beauté barrée. Volupté stricte. Sagesse déviante. Déviance sage. Saveur agitée. Fête Repliée. Animal accidenté. Chagrin charnel. Extase à rebours. Bêtise calme. Âmes palpitées. Papier peur. Chair terreur.

Encore un dernier verre qui n'est jamais rien de moins que le suivant

Intensité éclatante

Un verre de plus qui se brise

C'est pas parce que c'est flux eau que C'est beau

Est-ce qu'on pourrait faire la dernière fois

- Pour toujours ?

Excuse-moi j'ai le cœur bleu il a bu la Tasse

Cueilli trop de ciel.

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Par le vent, il y a trop de lumière
Et toi tu crois que tu verras bien
Mais on ne verra jamais rien
Et j'y compte bien
Si c'est pour toujours
Me porter vers
La lumière.

Je m'étends
Elle t'étonne

On respire,
Et, c'est toujours bien.

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Par-dessus tout, être sous toi.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant