La princesse de Macindam

La promesse

Leila éclata en sanglot. Son père qu'elle avait presque pas connu venait de mourir. Quelqu'un l'appela par derrière, elle se retourna les yeux et rouge et découvrit que c'était Maxence qui l'avait appeler.

- Leila, calme toi, dit il de sa voix douce.
-Mais il est mort, répondit elle en reprenant ses sanglots.
-Oui je sais on lui organisera des funérailles dignes de son nom, répondit il, les gardes m'ont tout expliqué.

Leila resta là assise, avec Maxence, près de son père. Quelques heures plus tard, ils se levèrent et rejoignirent leur maison. Leila passa la nuit avec Maxence qui tentait de la consoler. Le lendemain, Leila sera proclamé reine.

Le jour se leva calmement sur la ville de Macindam. Des gardes étaient déjà postés autour de la maison. Quand Leila sortit ceci la suivirent comme des petits chiens. Leila se dirigea vers sa maison pour annoncer la nouvelle à sa mère et sa sœur quand un garde l'interpella. C'était un jeune garçon aux yeux bleus et verts, il était grand et mince et portait le blason du royaume.

-Majesté si je puis me permettre nous devrions nous diriger vers le château pour faire votre couronnement.
-Est ce obligé que j'y aille maintenant ? répondit Leila d'un ton sarcastique.

Le soldat crispé ne parla plus.

-Est ce obligé que j'y aille maintenant, répéta Leila un peu plus fort.
-Euh non, on fait comme vous voulez majesté, répondit le soldat.

Leila continua de marcher sans répondre. Arrivée, devant chez elle, elle toqua et sa sœur lui ouvrit. Elle entre et demande à parler a sa mère. Mégane alla chercher leur mère et revient. Leila raconta toute l'histoire.

-Et voilà père m'a dit de vous dire qu'il vous aimait très fort.
-Est ce vrai mère ?demanda Mégane.
-Oui toute cette histoire est réelle, répondit leur mère.
-Donc tu vas devenir reine,Leila?,continua sa sœur.
-Oui, apparement avec tout les gardes qui me tournent ça me parait être une évidence, répondit celle-ci. Les gardes m'ont aussi parlé de mon couronne d'ailleurs je devrais y aller.

Et c'est sur cette phrase que Leila partit.