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L.S

« -Eh princesse viens voir, m'appela Zachary.

-Peux-tu arrêter de m'appeler comme ça? soupirais-je en m'approchant de lui.

-Mmh non.

Je roula mes yeux. Mais en vérité, j'adore quand il m'appelle comme ça. Je me mise à côté de lui.

-Tu vois cette rose bleu, me dit-il en la pointant du doigt.

Je me pencha et j'aperçus une magnifique rose bleue.

-Oui.

-C'est toi, dit-il.

-Parce que j'ai les yeux bleus? lui demandais-je.

-Non. La rose bleue signifie l'espoir éternel ou bien l'impossible à atteindre et tout ça me fait penser à toi, dit-il avec son éternel sourire.

Je lui rendis son sourire.

-Et quelle rose te décrit le plus? lui demandais-je.

-Mmh je dirais la jaune et la noir.

-Que signifient-t-elles? dis-je en plantant mes iris dans les siennes.

-La jaune la joie et la bienveillance. Et la noir le courage et le respect.

-Je ne savais pas que tu connaissais autant de choses, dis-je un peu étonné.

-Je suis beaucoup plus intelligent que tu le crois, me dit-il en me faisant un clin d'œil.

-T'es devenu gnangnan, dit John à Zachary.

-La ferme, répond-il les sourcils foncés.

-Oh excuse-moi monsieur j'étudie les roses, leva-t-il les bras en signe de retrait. Mais par contre qui t'a donné des conseils sur comment draguer parce que là c'est nul à chier.

-Papa, grogna-t-il.

Je me mise à rire.

-Eh les enfants, venez manger, cria Angel.

-Depuis quand je suis un gosse moi? se vexa John.

-T'es un gosse car tu mon petit frère adoré.

Zachary et moi se mirent à se moquer de lui.

-Roh la Ferme, Râle-t-il.

Et nous partîmes manger dans la joie et la bonne humeur. »

Je me réveilla de ce souvenir à cause de mon alarme. Nous sommes en France, à Paris, pour tué Clarice Delafonteyn. Je partie me brossé les dents et me préparer. Une fois fini j'alla dans ma chambre et je vis Tyler allongé sur mon lit.

-Je sais pas si tu le sais mais on toque avant d'entré, soupirais-je.

-J'ai toqué. Mais tu n'as pas répondu. Donc je suis entré.

Je soupira.

-On a beaucoup de temps devant nous alors je voulais discuter avec toi, dit-il en me regardant ranger mes affaires de toilette dans ma valise.

Je vins m'allonger sur le lit à côté de lui.

-De quoi veux-tu parler? demandais-je.

-Parle moi d'une chose que tu aimes.

-La torture, souriais-je.

Il roula les yeux.

-Oh non. Stewart, je te le dis, tu n'aimes pas du tout ça. Je veux que tu me parles d'un truc que tu aimes vraiment.

FuCking Crazy Where stories live. Discover now