Le Royaume de Vastrinis: Les enfants perdus

Les rebelles seront tous punis pour leurs crimes

Chapitre 7

Suivant les indications des habitants de Triburne. Bakir Darek ne tarda pas à trouver le groupement de maisons. Dans une de celle ci ce trouvait le père et le fils aperçu avec les étrangers. La mère doit forcément habiter avec eux aussi.
Ah ces étrangers on rendu le roi fou de rage! Il n'aime pas que quelques choses échappe à son contrôle. Seul lui a le droit d'utiliser ses pouvoirs magiques. Il n'avait d'ailleurs aucun mal à reconnaître qu'il les utilisaient pour se montrer supérieur. Il dirige son royaume d'une main de fer. Il sait ressentir lorsqu'une source d'énergie puissante se manifeste sur les terres de Vastrinis. C'est ainsi qu'il avait remarqué l'ouverture d'un portail. Le roi Malak a la certitude que la magie une fois contrôler pourrait les protéger. Mais contre quoi? se demandait Bakir. Le roi avait alors répondu "contre eux même et contre ceux qui ne viennent pas de notre royaume. Les passages entre les différentes planètes de l'univers son possible. Le danger n'est pas à exclure."
Sa façon de parler et de convaincre avec une telle facilité à toujours impressionné Bakir dès son plus jeune âge. Le jeune homme âgé d'une trentaine d'années était issu d'une famille de noble et avait donc grandi à la cour. Son père était mort au combat lorsqu'il était enfant et en garde donc peut de souvenir. Il avait commencé à étudier aux palais jusqu'à ce qui découvre que sa mère a revendu des informations à des résistants. Bakir la alors dénoncé ne supportant pas sa trahison. Suite à cela le roi l'avait pris sous sa coupe pour en faire un parfait assassin chargée de mission sensible comme celle ci. Au dessous de son beau visage charmeur qui n'avait jamais trouvé le grand amour se cachait un homme froid. En-dessous de sa capes avec ces vêtements noirs et marrons en cuir. Il dissimulait des armes: Une épée, des poignards de différentes formes, deux pistolets...Le fait de porter des armes le fessait se sentir fort et inébranlable. Rien ne peut le résisté. D'habitude il préfère agirent seul mais cette fois là il est venu avec des gardes. Bakir savait que cela ne pouvait signifié qu'il allait bien s'amuser. Il frappa à la porte et c'est la mère d'Aris qui ouvra.

-Lana je présume ?

La femme hocha la tête avent de répondre.

-Oui et vous vous êtes qui?

L'homme prit une mine gêné.

-Excusez moi j'en oublie les bonnes manières je m'appelle Bakir et pour faire court je travaille pour le roi.

Maintenant que je me suis présenté puis je entré? Je souhaiterais parler à votre mari et votre fils.

Bakir donna l'ordre à deux gardes de le suivre et rentra avent que Lana eu le temps de dire quoi que ce soit. À ce moment là surgit Pierre surpris accompagné de son fils. Bakir regarda longuement l'enfant avent de prendre la parole.

-Bon que les choses soit clair je ne suis pas votre ennemis si vous êtes honnête dans les questions que je vais vous poser. Je repartirai et vous m'oublirez vite.

Bakir regarda Pierre s'avancer faire lui.

-Vite alors, j'ai du travail à faire.

-Je n'en doute pas lança l'homme du roi en riant. Il leur raconta alors les récits rapporté par les habitants du coin. Il leur demanda ensuite ou se trouvait ces enfants ? Mais Pierre et Lana répondirent qu'il n'ont pas croisé d'étranger. Leurs réponses négative commencèrent sérieusement à énervé Bakir.

-Vous refuser l'évidence !Je ne vous veut aucun mal, juste retrouvé les deux inconnus, une fille et un garçon avec des vêtements bizarres c'est pourtant pas compliqué s'énerva t'il.

Mais Lana nia une fois de plus les avoir rencontrer. Oui Pierre et son fils se sont rendus en ville dans la matinée mais seul. Bakir soupira, il obtenait toujours ce qu'il voulait. Bakir se tourna vers le petit garçon jusqu'alors silencieux et lui ordonna de venir. Pierre voulus le retenir contre lui mais un garde le frappa à la main et l'obligea à  reculer. Aris s'avança tout timide et Bakir s'agenouilla à sa taille.