Projet Aladin Tome 2

42 retour en arriere

Chapitre 41

Tic-tac, tic-tac, tic-tac, tel le bruit d'un tambour résonne à mes oreilles, dès que je reprends conscience. Avant que le tintement du carillon retentit douloureusement dans ma tête, dans un bruit abasourdissant. Dix coups bruissent. L'image d'une horloge Grand-père me vient subitement en tête et me rappelle un souvenir d'enfance alors que j'émerge lentement des bruines :

Flash back l'été de mes dix ans, c'était lors de se perpétuelle BBQ annuelle du 1 Er juillet chez les Gomez. Comme chaque fois, personne ne faisait attention à moi. Je déambulais devant le buffet, espérant pouvoir prendre les dernières tartelettes au fraise donc raffole Malik afin de lui apporté personnellement. Il vient d'arrivé, avec plus de deux heure de retard en titubant légèrement. Ses cheveux brun légèrement négligé lui tombait devant les yeux alors qu'il se dirige vers le bar avant d'être intercepté par Stella Mord une ami de la défunte mère de Malik, Marie décédé le mois dernier d'un cancer, un coup dure pour la famille Gomez et surtout pour moi, Marie était sans doute celle qui représentait le plus une mère a mes yeux depuis ma naissance. Elle endossait se rôle à la perfection dès que le temps le lui permettait, malgré sa famille avant que la maladie prenne le dessus sur elle et la tienne au lit.

Elle était toujours la pour moi, quand j'en avais le besoin. C'est avec elle, chaque année que j'allais magasiner pour la rentrée scolaire, telle une tradition. Une sortie entre fille elle disait, loin de faire seulement les achats pour l'école elle en profitait pour refaire ma garde robe au complet, disant a quel point je grandissais vite, puis elle m'apportait manger dans mon restaurant favoris.

J'essuie une larme que j'ai peine a contenir a la pensé que je la révéré plus.

Puis je scrute à nouveau mon regard vers Malik que je vois s'éclipser vers la maison discrètement. Je prends une assiette que je garnies de victuaille et avance la main pour prendre les trois dernières tartelettes, quand une main les saisit avant moi. Choqué je regarde la vielle dame, qui a mit la main dessus. Deux pupilles brunes me toisent un instant avant qu'un sourire apparaisse à sa bouche ridé. A peine plus grande que moi elle me dévisage avec un sourire mielleux sur les lèvres.

-Tu les voulais ?demande telle avec un accent en regardant mon assiette bombé de victuailles.

J'acquisse avec l'espoir soudain qu'elle me les laisse avant qu'elle morde dans une malgré mon aveux, je pâlis en voyant la tartelette disparaitre complètement dans sa bouche.

-Elle est exquise! Gémit elle en se léchant les lèvres.

-Je n'ai jamais rien mangé d'aussi bon rajoute elle ravit.

Je soupire déçu. Alors qu'elle s'apprête a en mangé une deuxième. Avant de suspendre son geste pour me faire une offre.

-Je te les laisses, Dit elle en tendant son assiette avec un sourire en coin. Mais alors que je tends la main pour prendre l'assiette, elle rajoute :

-A une condition?

Je la regarde sceptique avant qu'elle rajoute : Tu connais George Gomez n'es ce pas?

-Oui, je dis hésitant.

-Es tu un membre de sa famille? Elle demande exalté.

-Non je suis la fille d'Henri Steele son associé, je lui réponds, elle affiche un air tellement déçu que sur le coup j'ai cru qu'elle avait changé d'idée.