Salle à manger

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Dans ce chapitre et le suivant, il y aura des allusions au sexe et un lemon. Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.




- Je n'ai pas encore fait la salle à manger .... On le fait ensemble?

- Si tu veux, oui... Mais on est bien dans le canapé...

- Aller debout hyung!



Je grogne mais suit mon amant dans la salle à manger. C'est tout poussiéreux. Encore une chance que je n'ai pas éternué avec mon allergie à la poussière. On commence à passer l'aspirateur ainsi que le plumeau sur les meubles qui sont restés ici. Une fois assez propre nous mettons toutes la vaisselle dans les meubles faits à cette utilité.



Je m'assois sur une chaise épuisé.



- Debout Hyung ! On finit la salle de bain et promis après on fait des choses que t'adore faire dans le lit. Mais debout !



Il m'en fallu de peu pour me remettre au travail. Juste l'idée de voir les fesses et le corps nu de mon Jungkook, me réveille et me mets de bonne humeur. Ça fait deux semaines qu'on a rien fait. Pourquoi ? Car monsieur révisais ses examens. Deux semaines que je me branle seul et j'ai le droit d'avoir des désirs sexuels avec la personne que j'aime. Puis, je n'ai pas besoin de me justifier au pire, je fais ce que je veux, où je veux. Je suis chez moi, alors je le prendrais dans chaque centimètre carré de cette baraque.



On se dirige vers la salle de bain, lui devant moi. Je regards pas ou je marche mais plus son fessier très attirant à l'œil nu, même avec un jean moulant en plus.



Il se dirige vers un carton et commence à mettre les affaires dans les meubles, je fais de même mais toujours en le regardant faire.



Il reste plus qu'un carton. Le carton qu'il les contient. Une fois, qu'il les voit, il prend la boîte et m'embrasse.



- On doit finir la salle de bain avant de faire du sport mon petit Kookie

- Ne fait pas le gars qui va ranger alors que je te propose plus intéressant pour toi.



Je rigole sachant très bien qu'il se fou de moi. Il m'embrasse, tout naturellement je réponds à son baiser et commence à devenir à l'étroit dans ce jean.



Il descend vers mon cou et le mordille. Je grogne de surprise et ferme les yeux appréciant ce simple contacte qui m'avait manqué. Je le porte trop pressé et le pose sans délicatesse sur le lit.


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