INSPIRATION {terminé}

Ma haine sédentaire

Je cours, seule, dehors,

Je cours, sous la lune d'or,

Me réfugier dans cet arbre,

M'asseoir, sur son écorce de marbre.

Attendre les jours meilleurs,

Pour l'instant, j'ai mal au cœur,

Je ne parle presque pas, et pourtant

Dans une phrase tellement de sentiment.

Pour moi, rien n'est rationnel,

Chaque blessure est lésionnelle,

Et ces larmes de tristesse,

Ne montre que ma faiblesse.

Je pourrais courir des heures,

Pleurer jusqu'à perdre haleine,

Pour moi peu importe l'heure,

Tant que la nature m'aime.

Une larme exprime tellement,

Tant de pensées, immortellement,

Tant de choque émotionnelle,

Sensation sensationnelle.

Ce faire toujours rejeter,

Mais se sentir aimée,

Et je cherche mon chemin,

Je cherche ce recoin,

Qui saura m'accueillir,

Quand je n'ai plus envie de souffrir ;

Et je parle au ruisseau,

Je parle aux oiseaux.

Je pourrais courir des heures,

Pleurer jusqu'à perdre haleine,

Pour moi peu importe l'heure,

Tant que la nature m'aime.

J'ouvre mes pensées,

Je me vide de mes idées,

Je cherche à reconstruire mon cœur,

Qui est détruit à jamais.

Je cherche une solution,

Je cherche une bonne raison,

Pourquoi pleurer tant de fois ?

Est-ce que tout le monde est comme moi ?  

Et je lâche mon sac et je saute à pieds joints,

Comme si cela rendra meilleur demain,

Mais cette année s'achève,

Et j'ai peur de ne pas parler.

Je pourrais courir des heures,

Pleurer jusqu'à perdre haleine,

Pour moi peu importe l'heure,

Tant que la nature m'aime.

Plus de communication,

Ma vie est comme une chanson,

Tant de choque émotionnelle,

Sensation sensationnelle.

Pour moi rien n'est rationnel,

Et si la vie n'était qu'un rêve,

Je cherche l'inspiration,

Je vis au fil des saisons.

C'est une pensée sédentaire,

Pensée d'un solitaire,

Pensé d'un cœur mal aimé,

Que seule la nature sait combler.

Je pourrais courir des heures,

Pleurer jusqu'à perdre haleine,

Pour moi peu importe l'heure,

Tant que la nature m'aime.

Ho tristesse et désespoir,

Quand seule assise dans le noir,

Je pleure pour vider ma haine,

Je pleure jusqu'à perdre haleine.

Quand dans mon cœur sonne l'alarme,

Et que de mes yeux coulent des larmes,

Je sais alors que quelque chose ne va pas,

Et je me réfugie l'a.

Si la vie était un rêve,

Que serait la réalité ?

Si la vie était un rêve,

Qu'elle pensée devrais- je rêver ?

Et si la vie était un rêve,

Je ne saurais plus quoi rêver,

Et si la vie était un rêve,

Personne ne serait réalité.

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