Larmes sucrées

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Je me disais que l'amour était brutal
Menant à une souffrance fatale

Mais me voilà ici, à penser
M'imaginant parcourir de mes lèvres ta peau sucrée
Tes caresses me faisant chavirer
Mon souffle coupé, noyée dans cette voie lactée

Rouvrant les yeux sur ce monde froid
Tremblante, je n'attend que toi
Écrivant ces brides de poème
Pleurant ces "je t'aime"
Desquels déborde beaucoup trop d'amour
Faisant battre mon cœur, tel un tambour


Textes d'une fille en reconstructionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant