CHAPTER 4

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Elle me réveillait avec des papouilles ce qui me mettais de bonne humeur. Elle m'adressait un sourire avant de m'embrasser sur la joue.  Elle s'est ensuite levée pour aller se préparer mais moi j'en avais aucune envie, a vrais dire je n'avais aucune envie qu'elle parte.  Je décide de me lever pour aller dans mon dressing et choisis une robe blanche légèrement fleurie avec une ceinture en dessous de ma poitrine. Je choisis un petit blazer noir ou je prend le soin de remonter mes manches. Une fois sortie de l'autre salle de bain et en rejoignant ma chambre je la vis allonger sur le ventre sur le lit. Je la regarde instant avant de lui demander si elle avait faim. Une fois sont oui de la tête fait on descend au rez de chaussée et croise mon frère je lui prépare un petit déjeuner. Mon frère et Mélanie discutent un moment quand celui-ci me chuchote à l'oreille :

-Je suppose que je ne t'accompagne pas en cours ce matin.

Ce qui me faisait glousser et rougir à la fois. Il s'éloignait lentement en me faisant un clin d'oeuil de loin que j'arrivais parfaitement à distinguer.

Le déjeuner se passait dans le silence et on remontais finir de se préparer pour aller en cours.

Une fois sortie de la maison elle m'a ouvert la portière de sa voiture pour que je puisse m'asseoir ce que je trouvais touchant et aussi charmant. Son sourire rayonnais ce matin.

Une fois arrivée au lycée elle m'ouvrait encore la portière et en descendant je me suis entravée et elle m'a rattrapée en posant ses mains sur mes hanches. 

Quand ses amies ont débarquées on s'est regardé en baissant nos yeux, je me sentais rougir de plus en plus et elle rigolait.

On passait le plus clair de notre temps à se regarder et je rougissais et elle rigolait et ses amies ne comprenaient pas alors je rigolait aussi.

J'avais cette impression d'être différente et elle ne me laissait pas indifférente à vrais dire. Cela faisait un moment que j'était célibataire et elle m'avait limite retournée l'esprit en si peut de temps. Je pensais souvent à elle à vrais dire, même si je n'osais pas me l'avouer. 

Une banale HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant