CHAPTER 14

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Durant le cours je parlais avec Pauline, mais dans cette classe les gens la surnomment tartiflette parce qu'elle aime trop le fromage. Donc pendant toute la matinée je me suis mise à côté de tartiflette et on parlais de tout et de rien c'était cool. Durant la pause je suis allée dans le parc et mon téléphone s'était mis à sonner. C'était mon frangin. 

- Allo frangine ?

- Oui qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien je viens d'apprendre ta "rupture" même si ce n'était pas réellement une rupture je viens de savoir.

- Comment as-tu pus le savoir ? 

- Mélanie l'a dit à tout ton lycée alors beaucoup de personnes sont au courant et elle se vente de l'avoir fait avec toi. Est-vrais ?

- Mais non n'importe quoi c'est totalement faux ! 

- Tu ferais mieux de t'en occuper avec ta douceur car si c'est moi qui m'en occupe ça ne vas pas être pareille et je pense que ce ne sera pas beau à voir. 

- Je ne compte pas y aller avec douceur non plus. 

Je raccroche, énerver. Je me dirige vers la cafétéria afin de retrouver Mélanie qui semble bien se foutre de ma gueule sans réellement avoir de conscience. Je la voie au loin avec un groupe de fille riant à bouches ouvertes. 

Je m'interpose entre elles et je ne me gêne pas pour lui gueuler dessus. 

- Alors comme ça on l'aurais fait ensemble ? Mais tu cherches quoi en fait ? Tu t'amuse bien à dire de tels conneries pareilles? 

- Je cherche juste à réppendre la vérité chérie. Allons allons tu n'assumes pas ce qui s'est passé ? Pourtant quand tu criais mon nom tu ne disais pas ça. 

- T'es qu'une salope de dire ça en faite tout ce que tu veux c'est profiter des gens. Les personnes comme toi ça ne devrait même pas exister tellement c'est écœurant.

- On assume chérie, on assume. 

- Tu ferais mieux de te la fermer. 


J'ai courus du plus vite que je peux vers la sortie, humiliée et je commençait à marcher le long de la route pour rentrer chez moi. Je sentis une voiture passer près de moi et ralentir. C'est Lucie et Maëva. Elles se sont arrêter et elle m'on vue verser une larme sur ma joue. Maëva est passée à l'arrière et je me suis mise devant à côté de Lucie.  La voiture de Lucie était une décapotable bleu ciel. Maëva m'a touché l'épaule tandis que Lucie mettait sa main sur le bas de ma cuisse et toute deux me disaient qu'elles savaient ce que Mélanie avait fait et qu'elles ne concevaient pas ce choix et cet acte et qu'elles avaient couper les liens avec elle. Lucie roulait sans vraiment trop savoir où elle allait. C'était super. Il faisait beau, le vent dans les cheveux et le soleil qui venait légèrement nous éblouir faisait de cet instant un instant inoubliable. Je continuais d'admirer le paysage quand je me suis rendu compte que Lucie n'avait pas enlever sa main de ma cuisse et ça ma fais rougir. Comment a-t-elle pu oublier d'enlever sa main de ma cuisse ? Ou alors c'était volontaire ? Le baiser d'hier était-il en fait désiré? Tout cela me perdait énormément et plus le temps passait plus j'y réfléchissait et plus j'en rougissait.






Une banale HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant