CHAPTER 15

5 0 0
                                    

Lucie savait en fait parfaitement où elle allait. Elle s'est garée devant une maison grande et simple, et Maëva descendait de la voiture 

- Salut les filles ! Faites rien que ne je ferais pas !

- Ne t'inquiète pas à demain Mae ! 

- Bon je t'emmène où ? Une demande ? Une idée ?

Je réfléchissais un instant. Prendrais-je le risque d'aller quelque part avec elle alors que au final je ne sais pas quoi penser de tout cela ?

-Hum j'aimerais que tu me dépose chez moi. Je ne me sens pas vraiment très bien à vrais dire. J'aimerais me reposer. 

- Je comprends. Comment tu vis cela ?

- Je ne sais pas trop quoi penser, j'ai juste envie d'un gros pot de glace dans mon lit avec un film et ne rien penser d'autre

- Je comprends. Tu aimerais que je te tienne compagnie ? 

- Je veux bien mais j'ai tout un tas de questions en tête je ne risque pas d'être d'une très bonne compagnie. 

- Je comprend mais peut être que je peux t'aider à y voir plus clair ?

- Pourquoi vous êtes venues me chercher ? Comment avez vous sus où j'était ? Et pourquoi être si gentille avec moi ?

- C'est tout ce que tu as comme question ? 

J'avais une question en particulier qui restait en suspend dans ma tête et je ne savais pas vraiment quoi dire. 

- Euh... Oui c'est à peut près tout 

- Pourquoi cette hésitation dans tes paroles ? 

- Non je sais pas c'est une habitude. 

- Je vois et bien on l'a sus car ton frère nous a appeler pour nous prévenir que tu avais surement besoins de réconfort car ce n'était pas vraiment gentil de sa part. 

- Et pour l'endroit ou j'étais ? 

- Ta géolocalisation Chérie. 

- Chérie ? 

- Euh oui.. C'est une façon de parler.  

- Ah d'accord. 

- Ou est-ce-que tu habite ? 

- 2 Rue des lilas. 

- C'est pas très loin de chez moi. Si tu veux je peux passer te prendre le matin, ce sera toujours plus joyeux de faire la route à deux plutôt que toute seule, ou avec ton frère.

- Oui c'est vrais mais je croyais que tu restais ce soir ? J'ai un pot de glace à finir, et puis je n'ai pas envie de grossir toute seule. Dis-je en étant gênée. 

- Aha oui bien sr tu permet d'abord que je passe prendre quelques affaires ? 

- Oui bien sur. 

Pendant qu'elle est allée chercher des affaires à elle je suis restée dans la voiture et je réfléchissais à tout ce qui venais de se dire. Je ne savais vraiment pas quoi penser. 




Une banale HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant