le commencement

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Je m'appelle Lalia, j'ai 20 ans, des parents aimants surtout ma mère, car mon père est très souvent absent à cause du travail. je suis des étude en droit, l'université de afterglow à Saint denis. une grande université qui offre de grandes opportunités. En effet, grâce à cette dernière, j'ai pu effectuer de nombreux stage dans différents tribunaux, dont celui de Paris, de Tokyo, de Bruxelle... c'est d'ailleur dans une affaire dans le tribunal de Bruxelle que j'ai eu à faire à une des plus grosse affaire du siècle que j'ai menée à bien, celle de l'arrestation et de la condamnation d'un des hommes de mains (qui été soit dit en passant, été un haut gradé dans la hiérarchie du pire criminel encore connu dans le monde entier et en liberté toujours à ce jour, j'ai nommé Le colonel).

Après ceci je suis retournée vivre auprès de mes parents, à Vienne. J'aide comme je peux mes parents, et ma mère ainsi que mon père adorent quand je fais de la cuisine ou de la pâtisserie, pour eux je suis un vraie cordon bleu. Je sais de par ma vie solitaire à Bruxelle me debrouillée seule, que se soit pour le lingue, les tâches ménagères et du bricolage.

Ce soir étant seule à manger à la maison, je me suis commandée des petites lazagnes, que je dévore devant mon film préféré, le retour de la momie. je passe un agréable moment loin de la pression des études, des révisions, des tribunaux ainsi que de mes peurs, un moment rien qu'à moi, le paradis. Une fois les lasagne finie et le film terminé, je vais faire une petite ballade nocturne, comme j'en ai l'habitude , malgré le fais que mon instinct me cris de ne pas la faire. La brise fraîche de la nuit sur mon visage me fais un bien fou, je reste tout de même sur mes gardes suite aux menaces de l'autre timbré du tribunal, en suivant les recommandations faites par les policiers, on n'est jamais trop prudente. J'emmène toujours avec moi, depuis se jour là, une bombe lacrimogène, un taser avec lampe de poche, mon portable...

La ballade dure un peu plus de 30 minutes, le temps qui m'a fallu pour me vidée l'esprit. En retournant à la maison, je sens tout de suite que quelque chose à changé, quoi je ne serais le dire, pourtant tout à l'air normal. Pour me tranquilliser je fais tout de même le tour de la maison. La cave n'a pas été forcée, les fenêtre sont toutes fermées, la porte d'entré et comme je l'ai laisser en partant, c'est à dire fermé à double tours. je suis enfin calmé et rentre chez moi l'esprit tranquille.

En pénétrant dans la demeure rien ne me paraît suspect, je décide donc de prendre ma douche. Le sentiment d'insécurité qui s'était fait ressentir avant, s'éveille à nouveau quand cette dernière est finie , mon instinct me hurle de partir le plus vite possible d'ici, que quelque chose cloche malgré que tout paraît calme, et je ne me fais pas prier pour l'écouté, je m'habille rapidement tout en faisant le moins de bruits possible, j'ai ;l'impression que l'on m'observe à chacun de mes mouvements ce qui me met rapidement très mal à l'aise et en panique. je regrette d'avoir laissé mon taser dans la chambre. Je n'ai même pas le temps de mettre des chaussettes, que j'entends le parquet grincer, j'arrête tout mouvement et prête attention au moindre bruits, la porte s'ouvre sur un homme 1 mètre 70 environ, les cheveux d'un brun si profond qui ressemble à du noir, ses trais du visage son fins, un petite barbe entour sa bouche qui est dessiner en un sourir amusé ,des yeux perçant de couleur bleu gris avec une touche d'argent et un lueur malicieuse comme si il venait de trouver un trophée, il est musclé de ce que je peux apercevoir, si il doit y avoir un corps à corps, je ne gagnerais pas, il est fin et est habillé d'un pantalon militaire et d'un t-shirt noir moulant. Il à l'air très rapide aussi, mon dieu aider moi. Il est tellement impressionnant que je n'ai pas remarquer que j'ai reculer jusqu'au meuble ou se trouve l'évier. Ma tête doit être hilarante pour lui car ces yeux me scrutent avec amusement .

"- Alors chaton, on essayé d'échapper au grand méchant loup."

Sa voix me fais frissonner, mais qu'est ce que je raconte, reprend toi ma fille, je glisse ma main derrière mon dos et récupère la bombe lacrymogènes que j'avais cacher

"sa ne serre plus à rien de courir, je t'ai observé pendant ces 2 dernier mois, je connais tout tes tours de passe passe" , dit-il en s'approchant de moi

Pas encore, pas encore, encore un petit peu, maintenant!!! Et hop un coup de lacrymo dans les yeux je passe sur son côté gauche et dévale les escalier à grande vitesse, je suis sauver la porte d'entre vite !!! Et non, je m'immobilisme car il y a un berge malinois noir tout cros sortie qui m'effraie et m'empêche de sortir. Des bruits de pas se fond entendre dans l'escalier, j'essaie de me sauver par la fenêtre du salon que je sais facile d'ouverture mais avant de l'atteindre un bras m'en empêche et je me retrouve portée comme un sac à patate sur l'épaule de celui que je pense être le colonel car il règle selon les rumeur les problème gênant lui même...

Je hurle, frappe essaie de me défaire de sa prise mais rien n'y fais, même mes voisin ne son pas la, ou du moins fond les sourd d'oreille et me voilà mis dans le coffre de la voiture. Je fais semblant de me calmer puis essaie de sortir, sa le fais rire et il me plante une seringue dans le cou. De la drogue !!! J'ai la tête en cotton, je vais m'endormir de force, des larme perle au coins de mes yeux, je 'entend juste me dire avant de m' enfermée :
"fais de beaux rêves chaton, nous allons bien nous amuser tout les deux"

Fin

le chat noirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant