11-- initiation.

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Attention🚫, scène sexuelle.
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Il m'avait répondu comme si ,c'était évident, et il avait raison je le voulais. Je le regardais toujours en fronçant les sourcils. Je ne voulais pas que du sexe avec lui. Il y avait une attirance oui, mais je l'aimais.

D'un revers de main , il ferma la porte sans me quitter des yeux.

- je....je vous veut. Mais pas de cette manière, dis je enfin.

Il plisse les yeux et se rapproche de moi. Je déglutis difficilement.

- je le sais Laure.

- alors pourquoi me proposer ça ?

- vous me l'avez demander.

Moi?

<< j'ai des goûts très particulier, vous ne pourrez pas comprendre>>

<< alors initiée moi>>

Je le regarde en lui faisant comprendre que je venais de me rappeler.

- si...

- je sais ce que vous voulez Laure. Une relation stable. Mais je ne peux vous la donner que sous cette condition.

Mon coeur bat de plus en plus vite. Il m'aime ? Je veux l'entendre.

- alors... Vous m'aimez comme... Je vous aimes?

Il sourit en replaçant mes cheveux derrière mon oreille.

- oui, Laure. Depuis le début.

Je suis tellement heureuse. Je m'en mords la lèvre. Son regard s'appesantit sur celle-ci. Il a un regard de désir.

- alors montrez moi, dis je excité et essoufflé en même temps.

Sa fait longtemps que je n'ai pas eu de rapport sexuelle, alors pas étonnant que je sois autant excité et à la fois apeuré.

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Il me tire vers lui et m'emmène vers ce canapé en cuire. Il me regarde encore avant de m'embrasser. Il m'embrasse fougueusement, passionnément. Oh putain que c'est bon.

Il maintien mes mains en l'air et descend sa tête vers mon ventre pour y laisser des baisers. Il retire lentement mais très lentement mon jean en laissant sa langue glisser sur chaque parcelle de peau de mes jambes. Je déglutis péniblement et sent l'envie monter en moi. Il se relève et retire sa veste en me dévisageant sauvagement avant d'enlever sa chemise et mon t-shirt. Il rescella nos lèvres, je sentais tout, ces lèvres, sa langue, sa peau, son corps chaud...tout.

Il me caresse toujours les cuisses et je m'aggripe à lui. Mais il me fait assoir sur ce canapé. Il enlevait sa ceinture avec une vitesse en laissant passer sa langue sur ces lèvres. Elle me manquait déjà. Il me menota au mur et partit vers un tiroir. Il revint avec un masque pour les yeux.

- Hardis, soufflait je.

- la sensation est mieux les yeux fermés. Il me regarde longuement. Quand tu as mal Laure maintien toi à la corde juste à côté de tes poignets. finit il en mettant le masque.

J'étais dans le noir total. Je n'entendait que ma respiration saccadé.

Je sens sa main remontant vers l'unique bout de tissus cachant mon intimité. C'est insoutenable cette sensation. Je gémis à chaque passage.

Sa main a atteint mon sous vêtements, mais il se contente d'y dessiner des cercles ce qui embrasaient mon entrejambe.

Je sentis un froid vers ma poitrine. Il avait enlevé mon soutien? À qu'elle moment ? Je suis tellement chamboulé que je n'ai rien senti.

Je sens un truc glacé remontée le long de ma jambe, un glaçons ? Bonté divine, c'est trop, beaucoup trop. Il le fit glisser dans mon sous-vêtements. Seigneur Dieu tout puissant, faites que ça s'arrête. Et ce n'est pas tout, je sens aussi sa bouche sur mes seins, jouant avec mes tétons. C'est trop, trop, trop...

- Har...Hardis, gémis je.

Je le voulais en moi, maintenant, maintenant. Je ne respirais même plus normalement, je bougeais ma tête de chaque côté pour essayer de trouver de l'air. Je m'accrochais aux cordes à chaque fois que je sentais ses dents mordiller mes tétons. Je me suis tellement mordu la lèvre et je crois que je me suis blessé.

Et puis plus rien...

Je sentis mon unique bout de tissus s'éclipser de mon corps. Je déglutis. Il souleva mes jambes et là... Je me suis tellement accroché à ces cordes que j'ai entendu le bruit des menottes se tirées.

Il était en moi, son sexe était en moi. Il se bloqua un moment me laissant m'habituer à son engin. J'eus d'abord mal, très mal. Mais cette douleur se fit submerger par le désir incommensurable qui montait en moi.

Premier va et vient, je me crispe et j'accroche aux corde, ainsi que pour le second, le troisième, le quatrième et ainsi de suite.....

Je sentis son souffle chaud dans mon cou me cambrant encore plus. C'était bon, trop bon. Insoutenable. Insupportable. Incroyable.....

- Hardis, Har...., gémis je de plus belle.

Je m'accrochais toujours à ces cordes. C'était bon, trop... Je penchait ma tête de tous les côtés. Je le sentais, il était à moi et en moi.

Mon orgasme commençait à arriver, ce qui me crispait encore plus. Il jurait dans mon coup, il accélérait ces vas et vient.

Et là... Je me suis accroché comme jamais à ces cordes. J'avais atteint de le 7 ème ciel.... Un orgasme monumentale, me laissant des tremblements et des spasmes après son départ. Je n'avait jamais ressentie ça. Et je tomba de fatigue....
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J'entrouvis légèrement les yeux, ce parfums c'était celui d' Hardis. Il m'avait enroulé dans l'une de ces chemises et portait comme on porte les princesses vers un endroit inconnu mais peut importe.

Je l'aime et tant que je suis prêt de lui, je suis la plus heureuse des femmes......

nuance plus sombreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant