PDV : Heaven
Me voilà dans le jet familial, mon père a pris une précaution m'envoyant dans celui-ci, avec un des agents de sécurité de l'entreprise. Il m'envoie chez oncle William. Oncle William, cet homme qui m'a toujours fait peur, lorsque j'étais plus jeune. Le frère de mon père avait toujours cette lueur presque de folie dans les yeux. Je n'ai jamais compris pourquoi, William et mon père ne s'attendait pas vraiment.... Je sais peu de chose sur la famille, on ne m'a jamais parlé de mes grands-parents paternels.... Mon père s'est toujours tu sur ce sujet.... William était le seul membre de la famille qui venait nous voir. Si mon père croit que je vais à cet oncle, qui me fait peur depuis des années, il se met le doigt dans l'œil....
Deux heures plus tard...
Je suis dans le taxi qui m'amène chez William. Ma tête accoté sur la vitre et je repense à ma discussion d'hier avec mon père.
Flashback-Oncle William!? Non, je ne partirais jamais là-bas.
-Tu crois vraiment que ça me chante!? Figures-toi que non, mais je ne te reconnais plus Heavy... Je ne reconnais plus ma princesse.
-Bien, ta princesse a grandi.... Je ne suis plus la même.
-Oui, je le sais... Depuis, que tu es parti avec ce lambda, tu n'es plus la même... Je maudis le jour, où tu l'as rencontré. Avoir su, jamais je t'aurais donné la permission d'aller à cette stupide fête. Tu aurais resté ici tranquillement dans ta tour d'ivoire. Pourquoi ne parles-tu pas? Ça serait beaucoup plus simple.
-Plus simple!? Tu crois que ça serait plus simple? Je n'y crois pas... Je ne peux rien vous dire, quand allez-vous le comprendre!? Vous ne pourrez rien faire!
-Parle-nous!
-Non! Je hurle.
Il souffle.
-Tu ne me laisse pas vraiment le choix... William t'accueillera demain dans la journée. J'aimerais que ça se passe autrement...
-T'inquiète, moi aussi. Je chuchote en soufflant.Fin flashback
La voix du chauffeur du taxi me ramène au présent. Nous sommes arrêtés devant une maison assez modeste, de Boston. Je ne connais rien d'ici, mais ça ne me fait rien. Je descends donc et j'attrape mes deux sacs. Ouais, je n'ai pas emporté grand-chose. Je remercie le chauffeur, mon père la déjà grassement payé.
Je souffle donc et je sonne à la porte de la maison. J'entends des pas, bien mon oncle vient m'ouvrir. La porte s'ouvre.... Ce n'est pas lui... Zut! C'est une montagne de muscle. Mon père ne doit pas avoir donné la bonne adresse.PDV JONH
Comme toutes les fois que je peux, je repasse les séquences de mon mariage histoire de remémorer les souvenirs de Amelia en profitant du silence vu que Williams était allé faire un tour dans la salle de boxe. Je me souviens de ma femme comme si elle était de cette vie. Très belle femme respectueuse, avec des cheveux noirs ondulés qui cascadaient dans son dos et ça lui donnait une allure de princesse, Raiponce. Son sourire éveillait de la joie chez tout le monde, elle était aimée de tous....!
Plongé dans mes pensées, je ne me suis pas rendu compte que la sonnerie retentissait à une période accélérée...je me dirige vers la porte et l'ouvre. En face de moi une gamine un peu défoncée je dirais car elle avait pas l'air très contente la fifi, elle devrait sûrement se tromper d'adresse.- Depuis que je sonne à cette fichue sonnerie c'est maintenant que toi tu t'emmènes...ne saurais tu pas où se trouve la maison de William par hasard? Non biensur tu dois pas savoir, William Coleman !
- C'est bien ici dis je en fronçant les sourcils
- Alors qu'attends tu pour faire entrer mes valises? Musclé que tu sois tu dois sûrement être le vigile. Allez portes les!
- Une minute minus. D'abord tu me parles pas ainsi je suis pas ton égal et ensuite tu n'as qu'à les faire entrer toi même
Non mais pour qui cette fillette me prend t-elle? J'aurais pu lui mettre une gifle mais la politesse me l'interdit.
Je lui claque la porte au nez avant de retourner dans la maison en ronronnant.Aussitôt elle m'a suivi dans la maison
-Tu sais pas qui je suis donc tu me parles pas de cette façon, je pourrai te faire moisir en prison tu sais pas a qui t'as à faire tu ferai mieux de t'excuser tout de suite dit elle- N'abuse pas. Je la pris par les bras la serrant très fort aux poignées.
je ne vais pas m'excuser petite écer... Je n'ai pas eu le temps de terminé ma phrase que Williams est rentré en disant.-Oh je vois que vous avez déjà fait connaissance. C'est un bon début maintenant faudra tenir pendant longtemps.