Sauver le chapelier , il y a que ça qui compte.

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PDV ALICE :

Je me réveilla le lendemain en entendant des reniflements.
Le chapeau se souleva , laissant apparaître une truffe appartenant à un chien.
Le chien le souleva.
Je vit que c'était le chien de chasse.
Celui-ci me mis en colère.

Alice : le chapelier avait confiance en toi , tu étais censée les éloignés.

Le chien : ils ont ma femme et mes petits.

Alice : comment-appelle tu ?

Le chien : Bayard.

Je lui ordonna de s'assoir.

Alice : assis.

Il obéit tout en me regardant.

Bayard : tu ne serais pas Alice par hasard ?

Alice : si , mais ça ne veux pas dire que je suis celle dont tout le monde parle.

Bayard : le chapelier ne se serait pas mis en danger pour n'importe quelle "Alice".

Alice : sais-tu où il a été emmener ?

Bayard : au château de la reine rouge , à Salazeume-Greume.

Alice : nous allons tout faire pour le sauver.

Bayard : ce n'est pas ce qui est écrit.

Alice : ça m'est égale !
Sa vie est menacée et c'est à cause de moi.

Bayard : le jour "Frabieu" n'est plus très loin.
Tu devrais te préparer à affronter le Jabeurwoki.

Alice : depuis que je suis tomber dans ce terrier de lapin , on me dicte ce que je doit être et comment je doit me comportée.
J'ai été rapetisser , rallonger , ratatiner et jeter dans une
taillière , on m'a accusé de ne pas être "Alice" , puis d'être "Alice" , mais c'est tout de même MON rêve et JE décidrais dorénavant de ce qui ce passera.

Bayard : si tu t'écarte du droit chemin...

Je l'interrompit...

Alice : le chemin , c'est moi qui le tracerais.

Je m'aprocha du chien et il s'abaissa pour que je puisse grimper sur son dos.
Je grimpa et me mis au niveau où ce trouvait son collier.

Alice : emmène moi à
Salazeume-Greume , Bayard.
Et ramasse le chapeau , soit gentil.

Il obéit et se mis à courir.
Ont quitta cette prairie sauvage pour tracer notre chemin dans un paysage désert.
Il y avait quelques arbres morts et des géserts crachant de la fumé.
Il galopa à toute vitesse.

Ont arriva rapidement au château de la reine rouge.
Il est immense et de couleur rouge et blanc.
Un muret se trouvait juste devant nous et une rivière de boue bouillonnante nous séparait de
celui-ci.
Et... berk !
Il y a des têtes couper dedans.
Je descendit du dos de Bayard.

Bayard : c'est le seul passage possible.

Je m'aprocha du bord en pensant à ce que m'avait dit le chapelier.

Alice : j'aurais perdu ma
plusoyance ?

Je sauta sur une tête décapitée.
Mon dieu , ça me dégoute.
J'essaya de tenir l'équilibre avant de sauter sur une deuxième , puis une troisième.
Au bout de la cinquième tête je vit l'autre côté.
Je fit un dernier grand pas et retrouva la terre ferme.
Je m'aprocha du muret.
Il est immense.
En même temps , le chapelier ma fait boire la potion , donc évidemment je suis toute petite.
Mais je vais pas râler.
Le chapelier m'a quand même sauver la vie.
Je me retourna et demanda à Bayard d'envoyer le chapeau.

Le rêve d'un amour sincère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant