Le brun de vos cheveux, la noirceur de vos yeux,
L'infini élégance de votre beau sourire,
Les courbes gracieuses et sensuelles de vos jambes s'étirent.
Démarche d'un animal, d'un fin félin fatal.
Vos gestes légers, vos doigts de pianiste,
Rythmée par le battement de vos jolis cils,
Semblent jouer dans l'air une mélodie suave,
Lissant soigneusement sur ma peau vos entraves.
Et me voilà idiot pris au piège à nouveau...
De tous mes ressentis amplifiés infinis,
Dîtes moi que je rêve, je veux bien l'accepter
Mais ne vous en déplaise, vous êtes belle à croquer.