Elle était allongé sur son lit, ses yeux vitreux et rougis par les larmes, fixait son plafond depuis une bonne demi-heure, l'odeur de la vodka pomme et de la bière fraîche embrumait la pièce. Diane était dans un piteux état, il était trois heure de matin maintenant et elle ne réussissait pas à dormir, ce chapeau et cette nouvelle avait épuisé Diane mais pas suffisamment pour que celle-ci puisse trouver le sommeil.
Son réveil était programmé à six heure du matin, elle savait que ça nuit serait bien courte mais n'en avait rien à faire, elle avait cette drôle de sensation qui lui prenait la tête depuis que son amie Sophie lui avait annoncé son mariage, elle se sentait vide.
Ma tristesse est une émotion intense mais une fois les larmes écoulées, Diane ressentais un vide immenses et ne se sentait plus capable de ressentir quoi que ce soit à nouveau.Le réveil sonna comme des coups de marteau pour le pauvre crâne de Diane qui n'avait pas vraiment eu le temps de décuver. Elle s'habilla lentement comme si ses membres de fonctionnaient pas, et partie au boulot sans même prendre le temps de manger.
Se sentant incapable de conduire ou de marcher, la jeune femme du prendre le métro ce qui m'a fit arriver en retard.- Diane ! Ou es tu bon sang ! En arrivant dans son lieu de travail, elle remarqua que la voix de son patron résonnait dans tout l'immeuble, il appelait son nom depuis une quinzaine de minutes.
- Monsieur ! Diane monta à toute vitesse les escaliers qui l'a menait à son bureau et vit son patron taper du poing sur sa table.
- Diane, le retard n'est pas toléré ici, j'espère que vous avez une bonne excuse !
- Bien sûr ! Je... En cherchant à s'appuyer sur son bureau d'une manière décontracté, elle loupa le coche et sa main glissa lui faisant perdre l'équilibre, elle se ramassa par terre devant monsieur Montgomery.
Il arqua un sourcil devant la scène. Diane tentait de se relever, mais étant dans un état second, elle ne faisait que roulé par terre sans réelle grâce.
Il lui tenda la main pour l'aider.- Vous allez bien, jeune fille ?
"Il est évident que non." Pensa Diane avant d'hocher simplement la tête vers lui en se relevant.
- l'interview que je vous avez demandé hier est prête ? Demanda t'il en décidant d'ignorer le comportement aberrant de son employée.
- Dans votre casier, monsieur. Balbutina Diane en s'asseyant sur son siège.
- Bien, hmm pensais de temps en temps à prendre des congés ma grande, vous semblait malade.
- Euh o-oui.
Il ferma la porte en verre avec délicatesse avant de s'en aller à pas de géant.
En face d'elle, le bureau de son ami Tom était vide. Heureusement, elle n'aurait pas voulu s'exprimer à propos de sa crise de larmes hier quand elle était au téléphone avec sa fiancée.- Raaaaah, le mariage m'étais sorti de la tête.
Elle se massa les tempes vigoureusement avant de regarder l'heure. 7h. Plus que 11h et elle pouvait partir.Toc toc toc
L'homme qu'elle ne voulait surtout pas croisé toquait à sa porte avec deux cafés de chez Starbucks à la main. Elle fit le signe pour dire qu'il pouvait entrer avant de regarder au sol gênée.
- Diane, tiens ton moka. Il tendit le café à la jeune fille qui ne le regardait pas dans les yeux et bu une gorgée du sien.
- Merci Tom. Elle but une toute petite gorgée avant de regarder son ordinateur.
- Ne m'ignore pas, Diane. Je veux te parler.
"Je sais. Pas moi." Pensa t'elle avant de relever la tête et de croiser ses yeux bruns.
- J'ai compris, tu m'en veux pour ne pas t'avoir parlé de ma demande, n'est-ce pas ?
- Oui bien sûr, c'est ça. Répondit t'elle dans le plus grand sarcasme dont elle était possible. Écoute j'ai mal à la tête, j'ai bu et fait de la merde hier, on en parle plus et laisse moi juste travailler. Sa voix sèche coupa court à toutes réponses qu'aurait pu apporter Tom.
Tant dis qu'il se levait pour pouvoir sortir, elle bu une nouvelle gorgée de son café et fixa le dos de Tom quittant la pièce.
- Attend ! Pardon. Écoute je suis pas dans mon état normal, m'en veux pas.
Serrant les poings les yeux dans le vide, il se tourna vers elle et se mit à crier.
- Tu sais quoi Diane ? J'aurais espéré que tu serais heureuse pour moi. Comme je l'ai était pour ton espèce de promotion. Mais non, j'ai le droit à ça alors que je t'apporte le café. T'es vraiment égoïste ma parole ! Ton job de journaliste, monsieur Montgomery me l'agite sous le nez depuis que je suis arrivé, toi tu rends pas tes articles à temps et tu l'as. J'y crois pas, j'ai fait l'effort d'être heureux pour ta nouvelle mais toi tu demande à ma copine de ne pas m'epouser.Il agita le post-it que Diane avait collé sur sa porte hier soir avec écrit "Hmm j'hésite tu sais, après tout tu m'as lâchement abandonnée. "
- C'est toi qui m'as abandonnée, pas l'inverse. Il jeta le petit papier jaune en sa direction et sorti en trombe de son bureau.
- J-Je vais vomir. Finis par dire la femme à elle même, les larmes au yeux sans qu'elle ne sache la raison, avant de se jeter sur sa poubelle et d'y recracher tout l'alcool ingurgité hier.
C'est son collège Marcus qui se précipita vers elle en passant devant son bureau et en constatant son état.- Oh mon dieu Diane ! Tout va bien ? Il releva la jeune fille de sa poubelle tant dis que celle ci était dans état plus que second. Ses mèches brune bouclé tombait sur son visage et elle se tourna vers lui et pour remettre en place les mèches du garçon, les larmes au yeux. Elle sentait sa gorge plus sèche qu'un désert et cela lui faisait monté les larmes aux yeux.
- Marcus faut que je rentre chez moi. Balbutina t'elle en essuyant sa bouche du revers de la main.
Les mains de Marcus encadrèrent les jambes et les bras de Diane et il l'a porta pour la ramener chez elle. Elle avait honte d'être lourde mais suite à son état elle se contenta de se taire.
- Diane, donne moi tes clés alors.
Elle fit un léger mouvement de tête en direction de son sac et il le prenna avec lui.
- Allez on y va.

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New time
ParanormalDiane est stagiaire dans une boîte de journalisme à Londre, elle travaille avec l'un de ces meilleurs amis en faisant le métier de ses rêves mais alors que son patron lui donne l'occasion d'enfin écrire un article le temps semble se déréglée et Dian...