-Ce... ce... ce n'est pas ce que tu crois, je te le jure. balbutiais-je.
-Oui moi aussi je pense que ça mérite des explications.
-Il y a 10 ans ma sœur jumelle Alysse est morte, mes parents sont devenu fous de rage et ils ont voulu nier la mort de ma sœur, alors il mon travestie et on fait croire que c'était moi qui étais mort à sa place. Voila tu n'a rien à savoir d'autres.
-C'est dingue à t'entendre et à te voir on dirait vraiment que tu es une fille, comme quoi l'habille ne fait pas le moine. dit-il en rigolant.
-A moi de te poser une question, commet à tu eu ma carte d'identité?
-Quand tu ma bousculer j'était énerver par ta maladresse donc je t'ai prit ton portefeuille, je comptait te le rendre à l'heure prochaine quand j'ai vue quelque chose qui m'a intrigué, et bien sur tu as du deviner mon étonnement quand j'ai vue qu'une jeune lycéenne avais la carte d'identité d'un mec nommer Alyssone plutôt... Mystérieux non? Mais je ne suis pas débile et j'ai su faire le rapprochement.» Il arrêtât soudainement de parler et me contemplas durant de bonne minutes, je l'entend marmonner quelques chose mais je ne sais pas ce que c'est.«Bon je dois y aller, je te dis a demain?» Il me rendit mon porte monnaies et il partie aussi vite qu'il est venu. Pris de remord d'avoir fait tomber mon portefeuille et de l'avoir laisser s'immiscer dans ma vie privée, je rentre chez moi d'un pas décider. «Bonjour Alysse.» Je saute dans les bras de Stan, mon "vrai" meilleur ami, il a toujours été là pour moi il a dû attendre devant la porte le tant que je rentre car son sac à dos était poser devant la porte de chez moi et il était assis sur le palier.« Je me suis pas trop fais désirer?
-2 ou 3 heure pas plus.
-Tant que ça je suis vraiment désolé je savais pas que t'allais venir t'aurais dû me prévenir je t'aurais fais des cookies américain et en plus...» Je m'emporte dans un long monologue lorsque Stan pose son bras sur mon épaule et m'intéromp. «Est je rigole... d'accord? me dit-il avec un grand sourire.
-Tu m'a fait peur mais sa ne change pas l'idée des cookies!!! dis-je d'un ton sévère.
-Ok ok, mais j'espère que tu me laisse quand même entrer??
-Mouais...» Je le fais donc entrer dans ma demeure qui en plus d'être spacieuse contient une piscine« Oh chérie tu aurais dû me dire que ton petit copain allait venir j'aurais fais des cookies américain. à l'entante de la remarque de ma mère je donne un coup de coude à Stan pour lui rappeler se que j'avais dis.
-Mais non il ne faut pas vous donnez tant de mal juste pour moi.
-Tu rend ma fille heureuse il faut bien que quelqu'un te rende l'appareil non?
-Mais non.» C'est sur cette phrase que nous quittons ma mère pour aller dans ma chambre.«Alors comme ça tu fais des sortie nocturne? Tu me trompes c'est sa!! dit-il d'un air exagéré ce qui me fait rigolé.
-Non j'ai... Mes petites affaires à moi.
-C'est Quoiiiiiii? en disant sa il me rappelle les petits enfants curieux (et chian).
-Mel toi de tes fesse.
-Ne parle pas de mes fesse sur se ton.
-Bon et toi comment sa va avec ta petite copine?
-Elle est trop chiante je vais la plaquer
-Tu as bien fais car le pots de peinture sur pattes commencer à vraiment me saoulée .
-Ah bon tu l'aimais pas, fallait me le dire avant petit con.
-juste un truc. je prend un aire sérieu. Comment tu sais pour mes "sorties"?
-je ne suis pas dup j'ai vue tes bleus.» une gêne s'installe entre nous.«J'ai la dalle tu viens on sort??
-Ok» je me baisse pour attraper une grosse valise sous mon lit, je l'ouvre et prend quelques habits pour garçon et pars me changer dans la salle de bain. Une fois ma tenu enfiler c'est à dire Skinny blanc et troué un tee-shirt avec des toucans et mes Stan Smith blanche (en mode et ouais ch'uis encore là les gas ) j'enlève mes extensions de cheveux et repars rejoindre Stan qui est assis sur mon lit.«Alors mon petit garçon ??
-Je suis toujours prêt.» Je mes la pancarte occuper et mes de là musique dans mes enceinte pour duper ma mère une fois le travail fait je passe par la fenêtre suivie de Stan. Je l'entends derrière moi chanter la musique de mission impossible, il est tellement stupide que sa en devient comique « On mange ou?
-Comme tu veux.
-Alors direction le subway.» Durant le trajet Stan me parlent de sa petite sœur qui l'admire tant, il la décrit comme si c'était la 8ème merveille du monde, en même temps je le comprend c'est sa seul famille depuis la mort de ses parents, c'est un gas admirable. «D'ailleurs pourquoi t'a fais croire à ta mère que je suis ton petit ami?? me dit-il d'un ton interrogateur.
-Car elle savait que tu étais mon meilleur ami avant l'accident et elle a découvert le fait que je sorte sans ma joli féminité donc... enfin tu vois le tableau quoi.
-Oui t'inquiète pas sa ma juste... surpris.» Soudain un long silence s'installe entre nous jusque au moment où c'est à nous de commander, mais alors que j'allais fair pars de ma commande à l'employer je ressens l'étrange sensation que j'avais ressenti en sortant par la fenêtre: celle d'être observé, je me retourne donc mais quand je vois qu'il n'y a personne de suspect je retourne énoncé ma commande, une fois nos deux sandwich prêt nous partons manger au "lac des lilas" c'est ici même que nous nous sommes rencontrés. «Quelle souvenir nostalgique n'est-ce pas? Dis-je en me replongeant dans mes souvenir.
-Oh que oui c'était une magnifique journée d'été. Tu étais venu avec ta sœur et vous êtes partie vous baigné sauf que toi tu savais pas nagé donc j'ai volé à t'as rescousse.dit-il en souriant.
-Et la tête de ma mère quand elle a vu ça» je commence à rigoler en me remémorant la scène qui c'était passé sous mes yeux. ça me fait énormément de bien le fait de resté la nostalgique avec mon meilleur ami. « Bon il est tard faut peu être rentré non. dit-il en regardant sa montre
-Ah merde t'as raison, vite, dépêche toi. Stan ramasse sa veste et on repart faire le chemin inverse.
-Stan, tu peux m'aider à éscalader le mur s'il te plaît ?
-Bien sûre.
-À la une à la deux et... À la trois pfiou. Merci.
-Mais de rien.»
En remontant par la fenêtre je tombe et un grand "BOOM" retenti dans toute la maison. Je panique et me faufile dans la salle de bain et me change rapidement. À côté j'entends stane remonté lui aussi.«Ça va ? Me demande Stan de l'autre côté de la porte.
-Oui t'inquiète pas.»
Une fois fini d'être changé je dit à travers la porte.«C'était cool hein ? Ça fait du bien.» voyant que Stan ne répond pas je retente.« Stan ?» voyant qu'il ne me répond toujours pas j'ouvre la porte. « Oh Sta... » je me coupe moi même quand je vois ma mère les bras croisés devant Stan.«Qu'avez vous fait ! demande ma mère sévèrement.
-Je...» Panique !!!! Que faire enfin que dire !!!! Rien est bon à entendre.«Je redemande qu'avez-vous fait!!!». Pris de stres et de panique je me rapproche lentement de Stan. Une fois assez près de lui, je ne sais pas ce qui me passe par la tête mais je l'embrasse. Je le vois écarquillé les yeux mais pas assez pour que ma mère le remarque. Pour être plus convaincant - enfin je crois - Stan me retourne mon baiser avec plus de passion.«Oh je suis vraiment désolé j'avais cru que comme tu étais l'encienne ami de mon fils j'ai cru que vous m'aviez désobéi...». Après avoir fini de s'excuser ma mère repart en gloussant dans l'escalier. « Oh merci Stan tu m'as littéralement sauvé la vie je sais pas comment te re...» je me retrourne et vois Stan comme... Absent. « Woho Stan!» une fois revenue à lui il me fixe est dit «Excuse moi j'ai... bugé. -Bon on va devoir ce quitté car le rituel du soire vas bientôt commencé. -Ah mince! Déjà le temps passe si vite en ta compagnie Oh ma belle princesse...» Et voilà qui ce remet à nous faire du shakespear. Je suis tout de même mis à rigolé à ça blague. «Bon tu vas sortir où pas? -Nion je reste. dit-il avec une voix enfantine. -Rhololo tu vas pas t'y mettre? -Mais mois j'ai envie de rester. -Sûr? -Oui. dit-il avec des yeux de cocker. -Bon alors tu peux rester 30 minutes pas plus Ok? -Wiiiiii!» Il me prit dans ces bras. Quel Balourd je crois je crois que je vais mourire étouffé. Je le pousse et puis ensuite s'en suivie une guerre. Il attrapa un coussin puis m'assena un grand un coup avec. Je fis une mine choqué et pris le doudou qui était derrière moi pour lui lansé mais avant que je puisse levé mon bras il me plaqua au sol. Je me mis à éclater de rire, il m'avait fait un coup traitre: des chatouilles.« Hahahahaha arrête, hahahaha c'est de la triche, hahahaha. -Qui a dit que c'était de la triche? Fit-il avec un grand sourire demoniaque. Pour le faire taire je le mordis au bras. -AÏeeeee, tu triche. -Mouhahahaha qui a dit que c'était de la triche. dis-je en souriant.» Je repris le doudou derrière moi pour le frappé avec. Une fois la bataille finit je m'allonge sur le lit pris de fatigue. Stan lui aussi s'allongea sur le lit et se mis à me regarder.«Tu sais ça fait longtemps qu'on est amis et je me souvient très bien le jour de notre rencontre... Il tournât la tête et regarda le plafond. Et j'ai peur, j'ai peur de cette chose qui arrivera un jour où l'autre, c'est comme si j'était dans une salle où les murs sont d'un blanc immaculé et je suis tout seul. Mais quand je regarde je la vois elle me fait "coucou" de la main elle est loin devant moi et pourtant je la vois je sais qu'elle est inévitable, elle m'attend et plus j'avance dans cette salle qu'est le temps, je la vois de plus en plus distinctement et j'en ai de plus en plus peur, je la redoute. Cette chose c'est la fin de notre amitié et je ne veux pas que ça arrive. -Hahahahahahahahahahahahahaha sérieux le grand méchant stan à peur d'une si petite chose. il se releva et me regarda d'un œils mauvais et surpris. tu sais certaine chose ne peuvent pas être contourné et la seul chose qui mettra à fin notre amitié. c'est la mort. Hahahahahahahaha c'est bon t'es calmé tu veux un câlin. -Des fois je me demandes si t'es bipolaires? -Haha peut-être... sinon l'heur fatidique est arrivé. je pris un aires sérieux. tu dois partir, hahahaha. -T'es méchants. Dit-il en faisant ces larmes aux yeux de futures comédiens. -Mais qui à dis que j'ai gentil? je lui souris et le pris dans mes bras.» Il partie avec le sourire et j'entendis la porte ce fermé. je me dirigea et le regarda par la fenêtre qui mène à l'entré de la maison. Mais toute à coup il se retourna et me regarda et cria. «Hé t'es lèvres! -Quoi mes lèvres?! -Elle ont un goûts sucrés!il me fit un clins d'œils et repartie. je sentait la chaleur monté en moi et mes joue tourné au pourpre.